Sur Titus Andronicus, j’avais déjà écrit un article d’abord paru sur Causeur en juin 2012 puis sur mon blog. Je ne vais me contenter que de rajouter quelques notes tirées de Fluchère et d’ailleurs.
« Un char démantibulé, chargé de cadavres ensanglantés venus d’un échafaud élisabéthain et conduit par un bourreau échappé d’un asile et brandissant une marotte de bouffon. »