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Enquête sur la servitude humaine

 Au Salon littéraire

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« Une idée extrêmement déplaisante me vint. » [1]


Romancier de la déréliction et de la proximité, de la mutation et du milieu, de la survie et de l’anéantissement, Michel Houellebecq nous offre aujourd’hui son livre le plus inquiétant, le plus ambigu, le plus accompli. Moins sophistiqué  que La possibilité d’une île, plus engagé (et de fait moins « goncourable ») que La carte et le territoire, Soumission renoue avec la veine dévastatrice et drolatique, à notre avis la meilleure, de Plateforme, des Particules et d’Extension. Jamais en effet la fiction n’aura été si visionnaire et de l’ordre du probable. Jamais l’abolition de l’individu dans un dispositif qui l’aliène autant qu’il le caresse n’aura été aussi bien mise en ligne. Jamais le désespoir n’aura paru à ce point désirable.  En vérité, cette soumission est une conversion et qui, comme toujours chez Houellebecq, prend d’abord une forme sexuelle. La comparaison entre l’homme soumis à Allah et la femme soumise à l’homme est de ce point de vue aussi obscène que bienvenue : l’islam, nous dit l’auteur, est une Histoire d’O pour mâles en détresses –  votant à droite par-dessus le marché ! Et de nous offrir l’une de ses théories socio-sexuelles dont il s’est fait le spécialiste depuis Extension du domaine de la lutte : si l’ultra libéralisme n’était que le résultat de la « jouissance sans entraves »  chère aux soixantuitards, l’islamisation de la France est moins le résultat de l’immigration massive que le désir secret de la droite conservatrice et catholique à retrouver un ordre social fort, sécuritaire, patriarcal, transcendant – et polygame. Autant le triomphe du capitalisme était le triomphe des libidos les plus « gagneuses » sur le terrain, autant le triomphe de l’islam sera celui du désir masculin placé en perpétuelle émulation conjugale – car avoir plusieurs femmes signifie surtout en avoir plus que le voisin, soit être plus riche et plus puissant, dans les deux sens du terme, que lui. A partir de là,  capitalisme et islam s’épousent mutuellement, la sélection sexuelle assurant la domination des plus forts, et par elle, la survie de l’espèce, le harem n’étant qu’une loi du marché parmi d’autres.

 

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Le mâle de l’islam

Dès lors, il faut suivre les pérégrinations de « François », le narrateur, sorte de « dernier des Français » comme Nietzsche parlait de « dernier des hommes », professeur de lettres à la Sorbonne, spécialiste de Huysmans, « aussi peu politisé qu’une serviette de toilette » (ah ! les divines chosifications de ce poète du frigidaire et de la bouilloire, du micro-ondes et de l'évier qu’est aussi Houellebecq et qui participent de la nouvelle hominisation !) et voir comment celui-ci, échouant par deux fois à renouer avec sa propre culture européenne et chrétienne, finit par se laisser séduire par une culture qui lui promet la gloire universitaire, dix mille euros par mois à Paris IV et la possibilité de se marier avec trois ou quatre femmes, y compris adolescentes…. à la condition expresse, d’ailleurs bien plus sociale et vénale que morale et religieuse, qu’il se convertisse. Et c’est là que le romancier touche « au cœur du mal », comme aurait pu dire le commandant  Van Der Weyden du P’tit Quinquin de Bruno Dumont, révélant ce qu'il y a de pire chez le mâle, l'islam, et ce qu'il y a de pire dans l'islam, le mâle.

Là-dessus, il ne faut pas se tromper de roman, sinon de territoire littéraire. A l’instar de ce qui a généralement été le cas du roman français, et contrairement, par exemple, à ce qui se passe dans le roman américain pour qui la compréhension du monde commence par la sortie de soi, l’horizon, ou ce que Deleuze appelait la déterritorialisation[2], Soumission est un livre qui part du moi pour aller au monde,  qui fait du monde le point de vue, souvent malveillant, du moi, sinon son conflit primordial (quoique finalement résolu ici dans une promesse égoïste et érotique) et qui en ce sens entérine le romantisme de l’auteur de Non réconcilié. Romantisme de bas étage, dira-t-on, ou de petit consommateur lambda qui ne pense qu’à sa pomme et à sa bite,  mais qui n’est rien d'autre que celui, classique, d’une subjectivité à l’œuvre, d’une haine primitive de ce qui advient, doublée d’une chute consciente et extatique dans l'abîme. Puisque l’on m’impose ce monde contre le mien, mais puisque le mien n’assure plus depuis longtemps, eh bien je vais l’embrasser dans ce qu’il a de pire et, pourquoi pas, en jouir. Puisque ce qui me nie a l’air d’être plus sexy que ce qui m’affirme, je vais collaborer.

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Et en effet, chez Houellebecq, la défaite de l’homme occidental est autant cristallisée comme telle que rendue irrésistible, sinon souhaitable - les personnages accompagnant généralement ce qui les perd. Si suicide français il y a, celui-ci est le plus voluptueux du monde.  On cherchait de l’amour à travers  l’échangisme dans Plateforme, on préparait à se cloner dans Les Particules élémentaires, on le faisait au-delà de toute mesure dans La possibilité d’une île, on devenait végétal à la fin de La carte et le territoire, on s’islamise comme il se doit dans Soumission. La mort de la civilisation est une petite mort orgasmique qui passe d’ailleurs aussi par de bons petits plats. « Je n’avais nullement cherché alors à dissimuler l’impression que me causaient les avantages physiques d’Aïcha, ni les petits pâtés chauds de Malika. »[3]


Le fond canin des choses.

D’aucuns argueront, comme par exemple Marc Weitzman dans Le monde[4], que la faiblesse de Houellebecq en général, et celle de Soumission en particulier, reste, en dehors même de la dimension « réactionnaire » du livre, dans la désinvolture narrative avec laquelle l'auteur traite les mutations politiques de la société -  celles-ci ne relevant pas de descriptions réelles mais de simples conversations entre initiés. Sans doute un romancier américain aurait, sur le même sujet, fourni un roman de six cent ou huit cent pages, dans lequel, plus que de nous expliquer « le changement de paradigme », il nous l’aurait raconté avec forces détails, personnages multiples et intrigues secondaires de toutes sortes. En se contentant de traiter en paroles ce qu'il aurait dû traiter en actes, Soumission, de ce point de vue « américain », ne fait qu'effleurer son sujet - sauf que Houellebecq n'a jamais fait que ça (sauf dans La possibilité d'une île où il tentait une dramatisation épique du récit, et à notre avis, avec une certaine lourdeur) et que son art est d'abord celui d'un fabuliste qui dit plus qu'il ne raconte. On peut trouver ça dommage. Mais on peut aussi trouver ça diablement efficace, chaque énoncé politique ou sociologique restant en tête mille fois mieux qu'une longue intrigue secondaire tentant de le prouver. Après tout,  les démons dostoïevskiens, eux aussi, parlaient beaucoup - et l’on comprenait où allait le monde aussi en les écoutant.  Et si « La transcendance est un avantage sélectif  »[5], comme l’explique Godefroy Lempereur, collègue de François, spécialiste de Bloy[6] et ancien identitaire, c’est parce que  « la sous-population qui dispose du meilleur taux de reproduction, et qui parvient à transmettre ses valeurs, triomphe »[7]. Et de ce point de vue, « non seulement [les catholiques] n'ont rien à craindre, mais ils ont beaucoup à espérer... »[8]. Quant au Figaro, il reste fidèle à son lectorat et aborde « le nouveau régime venant de s’installer en France sous l’angle de l’immobilier et du luxe », constatant sans sourciller que « de ce point de vue, la situation était extrêmement prometteuse »[9]. Tout change parce que rien ne change. Quoi de plus moderne, pour le coup,  que de comprendre le monde par ses signes et notamment par ceux qui semblent se contredire alors qu’ils se complètent ? En 2022, l’islamogauchisme a vécu. C’est l’islamodroitisme qui l’a emporté et non seulement pour des raisons mercantiles et sécuritaires mais encore pour des raisons poétiques et métaphysiques, teintées de nietzschéisme : contrairement au christianisme, l’islam, en, effet, approuve le monde dans sa totalité. Pour lui, le monde est parfait, c’est un chef-d’œuvre absolu, il s’agit simplement de le conquérir et de le chanter. « Qu’est-ce que le Coran au fond, sinon un immense poème mystique de louange ? » et qui, en plus d’être « entièrement composé de rythmes, de rimes, de refrains, d’assonances repose sur cette idée, l’idée de base de la poésie, d’une union de la sonorité et du sens, qui permet de dire le monde. »[10] Alors, certes, le musulman (et surtout la musulmane) perdent de leur liberté et de leur autonomie – mais « fuck autonomy ! »[11]. Si la science nous prend en charge de la vie à la mort et même au-delà (clonage), pourquoi une religion « scientifique » comme l’islam (c’est-à-dire qui fait l’économie de concepts superfétatoires et irrationnels telles la transsubstantiation ou la Trinité) ne pourrait-elle pas légitimer, justifier, spiritualiser cette prise en charge ? Tout ce qui nous libère de notre liberté est bon à prendre. Quant au libre arbitre, l’islam a prouvé que les seuls choix que faisaient les hommes étaient « les choix reproductifs sur des critères purement physiques et des critères inchangés depuis des millénaires. »[12]Alors, pourquoi encore résister à la divine servitude ? 

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Theo van Gogh, Submission

 

Dans un article abject et jaloux, quoiqu’intéressant dans ce qu’il a de révélateur sur l’hystérie moralisatrice et profondément antilittéraire qui l’anime depuis qu’elle se mêle de littérature Christine Angot accuse Houellebecq, outre de « salir celui qui le lit », de ne s’en tenir qu’à la réalité visible et d’ignorer le fond des choses que seuls, selon elle, « Mai 68, l’humanisme, l’antiracisme, la psychanalyse, les universitaires, tous ceux qui essayent de trouver quelque chose derrière la réalité »[13], (tous, sauf les écrivains, donc) peuvent saisir. On croit rêver. Autant accuser Baudelaire de n’avoir rien compris au spleen ou Kierkegaard d’avoir raté l’intériorité chrétienne. L'écriture de Houellebecq, comme d'ailleurs celle de Carrère, autre victime de la vindicte angotienne, n'a certes jamais été « artiste » au sens où celles, par exemple, d’un Pierre Michon ou d’un Richard Millet, peuvent l’être. Aussi peu « déontologique » que possible, assurément naturaliste, et nous allions dire « courageuse », celle-ci s’est toujours contentée de dire les choses, de nommer leur fond canin, de montrer ce que justement les clercs à la Christine Angot refusent à tout prix de voir et d'envisager. Morne et incisif, indifférent à ce qui pourrait le contredire (d'où la rage impuissante des dits-aveugles), "immonde" seulement pour ceux qui ne voient pas et ne veulent pas voir le monde, le style reconnaissable entre tous du « contemporain capital » trace inéluctablement sa carte, marque durablement son territoire et, un peu comme la tortue de la fable, arrive toujours au but.

 

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Après l’Histoire.

Et celui-ci n’est rien d’autre que ce que Philippe Muray aurait nommé une sortie de l’Histoire, sinon une sortie de la France, et qui, en tous cas pour le narrateur, constitue bel et bien, et tel qu’il l’a écrit à propos de Huysmans, « une sortie du tunnel » - François étant en effet ce post-moderne pour qui l'Histoire n’existe presque plus, qui trouve d’ailleurs très irritant que la nouvelle politique de son pays puisse influer sur son existence personnelle et l’oblige à reconnaître que « le déluge, en fin de compte, pourrait bien se produire avant [son] propre trépas »[14]. De fait, l’Histoire avec ses fusillades et ses exactions, est bien présente dans Soumission mais toujours en arrière-fond, comme si justement l’époque faisait tout pour ne plus la prendre en compte. Ainsi, les bombes que l'on entend de loin lors d'un cocktail universitaire et qui obligent les participants à aller continuer leurs discussions ailleurs, « s’étonnant » de ne pas avoir plus peur que ça ;  la tentative de guerre civile vite étouffée par les médias ; et pour le plus inquiétant, les Juifs qui, lorsqu’ils ne sont pas retournés en Israël, semblent avoir été escamotés par le nouveau régime. Ce sont dans ces non-dits terrifiants, ces détails liquidés, ces occurrences laissées en suspens sur lesquelles se termine tel ou tel paragraphe (dont celui, page 244, concernant la nouvelle épouse d’un des déjà convertis et  « qui vient d’avoir 15 ans »), ce chaos en sourdine que le texte trouve son tempo.  

Les trois premières parties du roman sont à cet égard remarquables tant on a affaire à ce que l'on est bien obligé d'appeler « un suspense ethnique » avec tous les signes du nouveau monde qui s’installe subrepticement dans l’ancien et dont la reconnaissance passe toujours ou presque par les femmes : filles voilées ou en burqa qui traversent un couloir ; remarque sur le fait qu’une minorité prenne le pas sur les autres, comme dans le cours de Steve, un collègue de François où « les Chinoises étaient remplacées dans son cas par un groupe de Maghrébines voilées, mais toutes aussi sérieuses, aussi impénétrables »[15] ; frères barbus qui surveillent « leurs sœurs » à l'entrée des amphithéâtres et qui, lorsque le narrateur leur dit gentiment de s’en aller le font en lançant un « la paix soit sur vous, monsieur…. »[16] jusqu’aux parisiennes que l’on croise dans les rues et dont on remarque un beau jour qu’elles ne portent plus que des pantalons, nouvelles mœurs obligent, et ce faisant, empêchent cette « projection mentale » par laquelle l’homme moyen détectait leur cuisses et « [reconstruisait] la chatte  à leur intersection ». Petite contrariété libidinale qui est une prise de conscience historique : « La contemplation du cul des femmes, minime consolation rêveuse, était elle aussi devenue impossible. Une transformation, donc, était bel et bien en marche ; un basculement objectif avait commencé de se produire. »[17]

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A cette désérotisation du paysage urbain correspond la décatholicisation du paysage mental. Par deux fois, François tentera un « retour » à la religion de Huysmans et y échouera coup sur coup. La première fois en se rendant à Rocamadour et en s’imprégnant de Péguy, dont des quatrains entiers surgissent  dans le texte (au contraire de Huysmans quasiment pas cité). La seconde en allant faire une retraite à l’abbaye de Ligugé où Huysmans avait reçu l’oblature. Mais Dieu, qui ne se donne qu’à l’amour, ne lui fera pas signe et le narrateur reviendra, « inému et sec », ayant cette fois-ci tout perdu de sa culture et de son cosmos, « déserté par l’Esprit » et par la Mère de Dieu elle-même :

« Le lendemain matin, après avoir chargé ma voiture, après avoir payé l’hôtel, je revins à la chapelle Notre-Dame, à présent déserte. La Vierge attendait dans l’ombre, calme et immarcescible. Elle possédait la suzeraineté, elle possédait la puissance, mais peu à peu je sentais que je perdais la puissance, qu’elle s’éloignait dans l’espace et dans les siècles tandis que je me tassais sur mon banc, ratatiné, restreint. »

D’ordinaire, dans un roman qui traite de religion, lorsque le personnage échoue dans sa conversion, la Présence, elle, n’échoue jamais. Même « au cœur du mal », Dieu se fait sentir par son retrait même. L'obscure clarté est bien là.  Rien de tel ici.  Dans cette chapelle, l’occidental perd définitivement la partie. L’échec est poétique, social, spirituel, existentiel, cosmogonique, anthropologique. Le Christ est, cette fois, personnellement mort. Trop féminin, trop sacrificiel, trop friendly,  il n’est plus en adéquation avec la nouvelle barbarie. Sa crucifixion fut une « faute de goût », son enseignement bien trop compliqué, son pardon à la femme adultère, sous prétexte que nous avons tous péché et gna gna gna, un manque total de discernement qu’un enfant de sept ans aurait compris. Car « il l’aurait lancée, lui, la première pierre, le putain de gosse. »[18]

La première pierre.... Cela aurait pu être l'autre titre de Soumission.




[1] Soumission, page 50.
[2] « La littérature américaine opère d’après des lignes géographiques : la fuite vers l’Ouest, la découverte que le véritable Est est à l’Ouest, le sens des frontières comme quelque chose à franchir, à repousser, à dépasser. Le devenir est géographique. On n’a pas l’équivalent en France. Les Français sont trop humains, trop historiques, trop soucieux d’avenir et de passé. Ils ne savent pas devenir, ils pensent en termes de passé et d’avenir  historiques. Même quant à la révolution, ils pensent à un “avenir de la révolution“ plutôt qu’un devenir-révolutionnaire. Ils ne savent pas tracer de lignes, suivre un canal. Ils ne savent pas percer, limer le mur. Ils aiment trop les racines, les arbres, le cadastre, les points d’arborescence, les propriétés [les cartes, les particules, les plateformes, aurait-on envie de rajouter.] » (Gilles Deleuze / Claire Parnet, Dialogues, « De la supériorité de la littérature anglaise-américaine », Champs Flammarion, page 48.)
[3] Page 296.
[4] « Toxicité de Houellebecq », par Marc Weitzmann : http://www.lemonde.fr/livres/article/2015/01/06/marc-weitzmann-toxicite-de-houellebecq_4550131_3260.html

[5] Page 69.
[6] Léon Bloy, baudruche intouchable remise justement (et enfin !) à sa place comme « prototype du catholique mauvais » ayant choisi « un positionnement mystico-élitiste dans la société littéraire de son temps » et ne comprenant ni son « échec » ni « l’indifférence pourtant légitime que suscitaient ses imprécations »  (page 32), c’est la bonne nouvelle de ce livre et typique de ces jugements scandaleusement anti-culturels que Houellebecq aime faire de temps à autre. On se rappelle le tollé qu’il avait suscité auprès de Sollers et de la bande à Sollers lorsqu’il avait osé critiquer Picasso dans La carte et le territoire.
[7] Page 82.
[8] Page 155.
[9] Page 226.
[10] Page 261.
[11] Page 227.
[12] Page 294.
[13] « Ce n’est pas le moment de chroniquer Houellebecq », par Christine Angot, https://ppiccini52.wordpress.com/2015/01/15/cest-pas-le-moment-de-chroniquer-houellebecq-par-christine-angot/

[14] Page 72.
[15] Page 28
[16] Page 33.
[17] Page 177.
[18] Page 273.

Michel Houellebecq, Soumission, Flammarion, janvier 2015, 320 pages

 

PISTES A SUIVRE :

- Le meilleur article écrit sur Soumission : celui de Jacques Julliard dans Marianne

- Charlie-Hebdo for ever.

- Et si je peux me permettre : Ayaan Hirsi Ali, l'insoumise.

 

 

 

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