Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

orthodoxie

  • Paraclet I - L'Eglise orthodoxe, d'Olivier Clément

    Le 27 mai 2020, j'étais au Champ-de-Mars et je lisais L’Eglise Orthodoxe d’Olivier Clément dans la collection Que sais-je ? Après La Fracture théologique du Père Brune découvert l'an dernier grâce à Elfic, mon ami malouin, et les dialogues théologiques avec Nebojsa C., mon ami serbe, que nous avions depuis des années sur mon mur Facebook, ma connaissance de l'orthodoxie progressait. Je ne savais (ni ne sais encore) si un jour je m'y convertirais officiellement, mais ce qui est sûr, c'est que pour moult raisons, la religion de Byzance et de Constantinople commençait à mettre à mal mon catholicisme déjà bien amoché.

    Quelle différence avec le catholicisme et quel soulagement ! "Ici, on respire", comme aurait dit le Père Brune. Le catholicisme, c’était la loi, la liberté sartrienne et l’enfer. L’orthodoxe, c’est la présence, la générosité et le paradis. Au sang, à la violence et aux ténèbres (méritées ! méritées !) de la première répondaient l'or, la lumière et la douceur de la seconde. Surtout, on avait le droit officiel de croire en l’APOCATASTASE (page 57), la plus belle idée chrétienne de tous les temps et la seule espérance possible et valable. L'orthodoxie pulvérisait le catholicisme comme l'amour divin pulvérisait la liberté des hommes. Non, ce petit livre deviendrait mon vade-mecum orthodoxe.

    Entrons-y pas à pas.

     

    Olivier Clément, l'Eglise orthodoxe.jpg

    Lire la suite

    Lien permanent Catégories : 2020 APOCATASTASE Pin it! Imprimer