A l'heure où les plus éminents savants de la toile déclinent leur souci d'une parole solitaire (mais recherchée sur Internet, les malheureux !), discutant à n'en plus finir de la corruption généralisée qui empêche celle-ci de jaillir (il est vrai que Dostoïevski se fait de plus en plus rare à la foire du trône), invoquant dans les larmes et la rage la possibilité d'un infra-langage ou d'une trans-humanité qui ne serait pas décimée par un méta-verbe (ou l'inverse on ne sait plus), s'acharnant à sortir d'une matrice dont on ne savait pas qu'elle existait à ce point et dont on finit par se demander si elle n'existe pas que pour eux, risquant en outre de se brouiller avec tout le monde, surtout avec celles qui jouissent - car ce refus jamais tempéré de jouir est leur credo ! - je ne connais pas de définition de la littérature plus salubre, plus stimulante, plus ensorcelante, à mille lieues de tout cette théologie d'écorché vif (car personne ne nierait qu'ils souffrent, ces arpenteurs), que celle qu'en donne John Cowper Powys au début de ses Plaisirs de la littérature.
"Les magiciens n'ont été capables de contrôler leurs anges ou leurs démons que le jour où ils ont découvert leurs noms. C'est en ceci que réside l'origine de toute littérature. Un mot est une incantation magique à la faveur de laquelle le "moi" exerce un pouvoir, d'abord sur lui-même, puis sur les autres "moi" et, pour finir, sur toutes les puissances de la nature."
Les mots sont donc des sorts jetés aux choses. Sorts de sens, de reconnaissance autant que d'animation. En bon christo-païen qu'il est, inspiré par la Croix comme par Stonehenge, Powys oscille entre la pensée mystique et la pensée magique, la première qui sauve, la seconde qui conjure. Nulle contradiction pour lui entre Merlin et le Christ, l'un servant l'Autre et mettant ses sortilèges au service de la grâce - la magie n'étant que du miracle organisé. C'est que tout belle et désirable soit-elle, la Création n'en est pas moins d'une cruauté sans limites pour les créés. Aussi devra-t-elle subir les plaintes, voire les accusations de ces derniers - le créateur nous donnant la possibilité de maugréer contre elle - c'est-à-dire aussi contre Lui. Serait-à dire que le premier mot fut un blasphème ? le premier nom un nom de Dieu ? Ce qui est sûr, c'est qu' "...après avoir suscité et créé la vie, la première fonction des mots, c'est de la critiquer. (...) en définitive, il me paraît difficile d'améliorer la définition de Matthew Arnold selon laquelle toute bonne littérature est dans une certaine mesure une critique de la vie."(c'est moi qui souligne). Comment ne pas souscrire à cette vérité aussi éternelle que difficilement concevable pour l'humanité moyenne ? Car il faut compter avec ces gens heureux pour qui la littérature est une perte de temps et un danger pour l'ordre social. On ne le dira jamais assez, le drame des écrivains est que les gens sont heureux - même quand ils sont malheureux, et que le livre sera toujours ressenti par le plus grand nombre d'entre eux comme ce qui pervertit le goût de vivre, subvertit les valeurs et désespère autant Billancourt que le seizième. Il n'empêche : sans Parole, soit sans cette faculté d'invoquer et de dénigrer les choses, de rendre grâce à la vie et de la maudire, l'humanité aurait cessé de se reproduire depuis Caïn - et Dieu se serait retrouvé Gros-Jean comme devant.
L'on a toutefois tort de limiter la littérature à un thème prédominant, fut-il le Mal ou la Rédemption. La littérature est le lieu de la diversité, de l'ambiguïté, des contradictions, du désinfectant et de l'ensorcellement, du discernement et de l'envoûtement, de la lucidité absolue et de l'ivresse. Surtout, elle n'a rien à voir avec l'objectivité du monde (bon pour la science) ou avec la valeur officielle de la vie (bon pour la morale), elle n'a rien à voir avec le sérieux que demande l'existence dans ses événements les plus sacrés et les plus anti-littéraires : la naissance, le travail, le mariage, l'enfantement, la mort - tant il est vrai qu'on reconnaît le sérieux à ce qu'il déboute tout instinct artistique. La preuve : entre la Joconde et un être humain, qui sauvez-vous ? L'être humain bien sûr, fut-il le plus con et le plus méchant du monde. Pire : entre l'Evangile et un anticlérical qui est en train de brûler le dernier exemplaire de l'Evangile, qui re-sauvez-vous ? l'anticlérical bien sûr, car notre présence ici-bas nous paraît malgré tout plus sûre et plus importante que toutes nos croyances d'une vie meilleure ailleurs. La vie veut la vie plus que le salut, la vie veut l'espèce plus que le sens. C'est notre tragédie. Passons.
Donc, la littérature, c'est quoi ? "Dans les livres sommeillent tous les démons et tous les anges sécrétés par l'esprit humain. C'est pour cette raison qu'une librairie - et spécialement une librairie de livres d'occasions - est un magasin d'explosifs, une pépinière de révolutions, une séminaire de réactions. (...) Une librairie est une poudrière remplie de dynamite, un drugstore plein de poisons, un bar bourré d'alcools, une fumerie d'opium, une repaire de bandits, une île peuplée de sirènes." Un jour, le Transhumain me reprocha de ne prendre le cinéma que comme un palliatif, un lot de consolation, une rose pourpre du Caire. Il avait sans doute raison mais il avait tort d'ignorer mes raisons. Car oui, en effet, schopenhaurien sur ce point, je tiens le cinéma en particulier et l'art en général comme une immense consolation, un gigantesque baume, un philtre qui aide à vivre. Serait-ce faire peu de cas de la vérité ? Mais quelle vérité ? Celle de Dieu ou celle des illusions vitales ? Celle qui me sauve ou celle me fait vivre ? Que m'importe de sortir de la matrice du moment que je peux voler dedans ! L'alternative est simple : soit Dieu existe et Il me sauvera malgré moi, soit Il n'existe pas et dans ce cas, autant se droguer à Shakespeare et à Dante. "Là se trouvent les poisons mortels, les drogues pour calmer, l'eau de vie qui rend fou, l'ichor* qui enflamme, le nectar qui enivre ! Là se trouvent concentrés les gémissements de toutes les générations d'humains, leurs cris désespérés, les hurlements de tous ceux qu'on enferme, leurs fuites désespérées, leurs triomphantes réconciliations. Au Commencement était le Verbe ; et le Verbe était en Dieu - et le diable a volé le Verbe dans son berceau. L'éternelle contradiction, qui donne naissance à toute création, fermente et bouillonne dans les livres, dans tous les livres ; et du haut de cette empyrée neigeuse que sont les livres, les avalanches mortelles de l'ultime négation nous emportent dans les profonds abîmes."
Bien sûr, pour cela, il faut aimer lire - et quand on aime lire, on aime posséder les livres. "Ce n'est jamais tout à fait la même chose de lire un grand auteur dans une édition empruntée à une bibliothèque municipale que dans un livre acheté avec ses propres deniers. (...) [c'est comme] recevoir la Muse lors d'une réception officielle au lieu de passer avec elle une nuit d'amour". Et qu'on n'ait pas la vulgarité d'avancer que les livres sont trop chers ! Un livre n'est cher que pour ceux qui n'aiment pas lire. Dostoïevski ou Proust à moins de dix euros en poche, je trouve même que cela n'est pas assez par rapport au gain infini que leur lecture représente... Chaque vrai lecteur (un par famille, selon le pourcentage de Powys) le sait bien. Pour lui, "les livres sont plus qu'une seconde Nature. Ils sont une sous-Nature et une sur-Nature. Ils sont la Nature dans son effroyable universalité, passée au tamis divino-diabolique de tous les types d'imagination humaine." Lire, c'est en effet posséder deux mondes, le dicible et l'indicible, le nommable et l'innommable - mais l'indicible... dit, l'innommable... nommé. C'est ici que tout se joue. Ecrire, c'est exprimer l'inexprimable - et lire, c'est le comprendre. Ca a l'air un truisme, cela ne l'est pas du tout. Le grand écrivain est celui qui outrepasse les droits de l'expression normative, qui rend caduque le sacro-saint "ineffable", qui possède tous les signes de tous les sens et tous les sens de tous les signes. Il peut être alors "un ascète, un immoraliste, un pornographe, un papiste, un quaker, un communiste, un anarchiste, un iconoclaste, un idolâtre", il peut même être un fou ou un imbécile, tout ce qu'il veut du moment qu'il sait traduire tous les langages qui traversent notre langue. Son rôle est de nous rendre à Babel. J'ai beau être ce gros français de trente-cinq ans, je veux exprimer en moi l'enfant, la femme, le nègre, le colon, le bochiman, l'animal, le sadique, le masochiste, le paon, le petit oiseau, le lion, le cancer, ma soeur, mon père, mes amis, mes ennemis, mon ex, ma marraine, mon amour, mes collègues, leurs souvenirs, leurs fantasmes, leurs voix ; je veux parler comme un éléphant et comme une brume, comme un éclair de feu ou comme un crumble au noix, je veux être moi-même une église, un quatuor ou la rivalité de François Ier et de Charles Quint ; je veux que tout parle - tout jouisse ! en moi. Je veux être livre. Qu'on me feuillette, qu'on me souligne, qu'on m'apprenne par coeur, qu'on déchire mes pages, qu'on se torche avec moi, du moment qu'on me lit et que je fais un effet, tout me va. "Considérez mes découvertes, réfléchissez à mes théories ! Laissez-vous séduire par ma magie, laissez-moi vous libérer grâce à mon imagination, laissez-moi vous impressionner par mes subtilités, laissez-moi vous enchanter, vous transporter par mes caprices, mes fantaisies, mes lubies, mon humour !"
[Ce que je fais de ma foi catholique et romaine dans tout ça ? diable, c'est vrai, je l'avais oubliée celle-là... Eh bien, disons que je rends à Dieu ce qui est à Dieu et à Proust ce qui est à Proust. Chacun son stade comme dirait Kierkegaard. Dieu, c'est du sérieux, justement - c'est la Parole qui se passe des paroles. C'est de la substance et du sens, alors que... mon dieu, allez-Vous me laisser sortir une énormité pareille ? C'est la seule qui me vienne spontanément : la littérature, l'art, tout ce que j'aime,... c'est du sens sans substance. Des effets de surface. Des simulacres - "sublimes" sans doute mais simulacres quand même. A DEVELOPPER.]
Donc, je veux jouir (c'est-à-dire comprendre, dit Claudel), avoir un pouvoir sur la création, la chérir ou lui chier dessus selon mes humeurs, et me branler dans l'universel. C'est pour cela que je lis. Et que je plains ceux qui ne lisent pas, "[ces] gens qui disent "je peux me passer de livres ; mon expérience me suffit, mes idées n'appartiennent à personne" [et qui] ne sont eux-mêmes rien d'autre que des livres très ordinaires et très usagés, dont le vent s'amuse à tourner les pages ; des pages qui ont déjà été tournées des millions et des millions de fois !" La banalité éprouvante de ceux qui ont préféré "vivre leur vie sans livres", la bassesse d'esprit des non-littéraires, l'ignorance crasse de leur vision du monde. Oh ils peuvent avoir "réussi", être riches, avoir tous les pouvoirs (et aucune puissance !), passer leur temps à tyranniser leurs semblables, ils ne pourront jamais "avoir vu Dieu", "[ils] ne pourront jamais vivre dans un présent qui est le fils du passé et le père de l'avenir sans une certaine connaissance du journal de bord que tient la race humaine depuis l'origine des temps et qui s'appelle la Littérature." Tu entends Esther ?
Insuffisance de la vie non littéraire. Vanité extrême de celui qui croit se passer des vanités mondaines et qui croit modeste de ne se contenter de la réalité que prise telle quelle. Alors que "le plus grand honneur que vous puissiez faire à un fragment de réalité, c'est de le qualifier de biblique, d' homérique, de dantesque, de shakespearien, de dickensien ou de rabelaisien. L'homme à l'écorce grossière et à l'épiderme épais qui dit mépriser les livres et qui prétend aimer ce qu'il appelle "la vie", vit ses expériences sur la corne d'un rhinocéros, sur la bosse d'un chameau ou entre les dents d'un requin." Comme il a peur de la réalité aussi, ce philistin... Il dit qu'il n'a pas besoin d'être consolé, mais tout simplement parce qu'il n'a rien vu, rien senti, rien vécu. Et il veut vivre encore moins - c'est pour cela qu'il ne lit rien. Il ne supporte ni les ténèbres ni la lumière et surtout pas cet "élément d'effroyable obscénité" sans laquelle "une grande oeuvre de fiction ne peut exister." Finalement, le Stalker avait raison. "Même le plus idéaliste des grands livres plonge souvent dans la boue, dans ce limon insondable qui tapisse le fond de l'océan et sans lequel la réalité ne serait pas la réalité." Qu'est-ce que la littérature ? ce qui console et ce qui révèle, ce qui berce et ce qui réveille, ce qui charme et ce qui arme. CE QUI EXPLIQUE LA SOUFFRANCE EN FAISANT JOUIR.
Suffisance du littérateur. Du philistin au pharisien, il n'y a qu'un pas. C'est beau d'être exigeant avec soi, ça l'est moins de l'être avec les autres - surtout quand on donne l'impression de n'être dur avec soi que pour avoir le plaisir de l'être avec les autres. Sois dur avec toi-même, mais, s'il te plaît, ne me fais pas payer ta dureté, sois dur avec toi-même si ça te chante, mais sois doux, très doux avec moi. C'est la seule morale qui compte. Surtout quand on est un ami des livres.
"Notre culture serait une bien pauvre chose si elle détruisait notre tolérance philosophique et transformait notre sympathie et notre compréhension en un mépris pharisaïque. Un homme qui aime vraiment les livres considère avec une indulgence infinie les goûts littéraires des gens les plus simples. Il a suffisamment d'esprit pour comprendre que ce flot de littérature médiocre qui nourrit l'intelligence des multitudes et les aide à supporter la monotonie de leur vie est quelque chose de tout à fait différent de ce que peut en saisir une personne qui se contente d'y jeter un coup d’œil en passant. Il a la générosité et l'intelligence de comprendre que la moindre page des productions de second ordre, quand elle s'imprime dans l'esprit du lecteur, est transmuée par l'alchimie de l'imagination en une réalité qui transcende le sens littéral des mots. Tous les lecteurs sont doués d'imagination. Ils ne seraient pas lecteurs autrement. Et ceux qui parlent avec condescendance de la littérature populaire devraient se souvenir comment fonctionne l'esprit des enfants, et comment ils transforment les histoires les plus banales, les plus ridicules et les plus vulgaires en eldorados de pur ravissement (...). Le plus pauvre, le plus grossier, le plus épais, le plus creux, le plus mélodramatique des livres porte en lui quelque chose, quelque teinture, quelque essence, quelque notion de la sagesse des siècles que roule ce vaste flot."
Que rajouter ?
(*l'ichor est un fluide éthéré qui remplace le sang dans les veines des dieux.)
Commentaires
Un texte très intéressant que vous nous offrez-là, Pierre. Beaucoup de choses que je partage. Elles seraient trop longues à citer et pour qui bosse demain, il se fait tard pour préciser. Je me contenterai d'encourager...
Oui oui pour le Plaisir en majuscule, cher Montalte !
Je crois que la discussion avait fini par choisir une torve voie, de traverse, s'en allant vers les questions de machine et de Parole, alors que c'est cette question du lire et de l'écrire, celle de la Littérature que l'on devrait remettre en lice, comme vous le faites.
J'avais pensé, avant de me faire silence, écrire un ultime texte en réponse au tout dernier du Stalker (lanusjenesaisquoi) et y revenir sur le sens et les modalités d'une écriture, mais l'angle d'attaque de la lecture est tout aussi porteur (d'autant que vous parlez aussi de ce qu'est pour vous l'acte d'écrire)
Mais ce faisant, je crains qu'on ne revienne encore une fois à cette question de "haute" versus "basse" littérature dont on discute depuis plus de six mois et le forum de J. Vebret... et on ne s'en sortira pas de cette affaire-ci!
Tssss, Montalte, je me contrefiche que Reyes (pourquoi ne pas nommer les protagonistes de ta petite saynète ?) jouisse et encore plus qu'elle vive de la traduction vaguement littéraire de ses orgies, réelles ou supposées, plus supposées que réelles d'ailleurs, suis-je bête. Ne fais pas de moi un peine-à-jouir, j'ai au contraire plus de désirs que mille démons réunis, et des plus affreux. J'ai dit, je répète donc (marque de fabrique, décidément...) qu'Alinartiste n'écrit que pour s'amuser. Je l'ai dit aussi et je le répète, il y a plus, dans l'évocation des vices de la première Mouchette (par exemple) que dans mille pages d'Alinartiste. Vois-tu, je préfère, en tous les cas dans le domaine de l'art, bander que jouir : je bande en lisant l'évocation d'une débauche, voilà que tout retombe lorsque, grâce à Alinartiste, je connais chaque millimètre carré du rectum d'une pouffiasse parisienne... Capito le pressé-de-jouir ou je dois refaire mon petit numéro ? Ouais, je crois que tu as parfaitement compris mais, comme tu aimes les caricatures, en étant une d'ailleurs, comique mélange d'un jésuite hilare et ripailleur et d'un Sade de petite pointure démangé, de temps à autre, par des élans de sainteté relatifs et non point absolus... Le relatif, voilà bien le potage dans lequel tu baignes mais, attention cher monsieur, un relatif où surnagent tout de même quelques soupes d'abolu...
Sur la Toile : ne me dis pas le contraire voyons, où je partirai d'un grand rire. Il n'y a pratiquement aucun texte de qualité (réflexion, style, culture, critique, etc.) un tant soit peu littéraire dans ces blogs prétendument littéraires, je crois les plus nombreux, par exemple sur mon hébergeur préféré, Haut et Fort (pub. gratuite), juste de la vulgarité, de l'insignifiance et beaucoup de blabla. Oserais-tu prétendre le contraire mon fin lettré, hein ? Allez, j'attends de lire ta rigoureuse démonstration, ta défense de Crotte si je puis dire, vu qu'il est vrai allais-je l'oublier, tu es passé maître dans le sauvetage des plus insignes merdes pseudo-artistiques (pas mal de nanars dans ta besace, mais c'est là un autre débat)...
Jouir, putain, mais tu n'as que ce mot à la bouche... à croire, mon garçon, que tu es en manque de cul, à ton âge... Il y a pas mal de choses à faire, crois-moi, pour te passer tes velléités perpétuellement érectiles, par exemple passer un coup de fil à Alinartiste qui t'enseignera, oralement, les 58 façons de jouir en te massant ton propre coude.
J'en aurai fini en te rappelant, encore une fois décidément, que la littérature est pour moi Grand Oeuvre, Ascèse, Graal si tu veux, et je me contrefous que Powys ou qui que ce soit pense le contraire, et je me contrefous même que l'on m'objecte l'exemple de tous ces fous de lettres qui ont fini comme des chiens ou Rimbaud revenu de ses rinçures.
Pour un livre je me damnerai (le manuscrit de Dante, par exemple, cf. Tosches) alors que, pour un anticlérical, je me damnerai assurément si je ne lui faisais par rentrer, par le trou de son choix, le manuscrit d'une Nothomb...
Ah oui, je me brouille avec tout le monde ? Ah bon, à en croire le courrier que charrie la Zone, ce serait plutôt le contraire... Non mon vieux, je décante, je décrasse et supprime l'inessentiel, si tu veux des noms : Vebret, Alinartiste, en attendant la suite parce que, vois-tu, je suis libre et crache sur tout lien qui m'empêcherait un tant soit peu de dire ce que je pense, d'écrire ce que je pense...
Un homme libre en somme, cela est plutôt rare, pas vrai ? D'où la solitude du Stalker qui se moque comme d'une guigne des petits copinages, y compris dans ses propres (prétendus) rangs (cf. ma dispute avec le noble chevalier De Guillebon)...
Prends-en de la graine, tartuffe.
"je suis libre et crache sur tout lien qui m'empêcherait un tant soit peu de dire ce que je pense, d'écrire ce que je pense..."
Sauf évidemment cracher sur l'idéaliste permanenté D.K. et son équipe de perruquiers médiatiques.
Juan, mon nouvel ami, un peu de calme, s'il te plaît... Je viens de chez le Transhumain et j'ai besoin d'un peu de repos.
C'est vrai, je lui disais à cet autre nouvel ami que lui et toi vous vous trompiez de cible. Lui dans le cinéma. Toi dans tout.
Franchement, tu as trouvé malin de t'en prendre à Alina (ma nouvelle grande amie aussi) parce qu'elle aimait la Turquie et pas toi ? je veux dire : pas nous. Etait-ce utile de partir canon et bazooka en tête contre elle alors que si tu avais voulu te battre vraiment, tu aurais dû aller, et nous aurions pu être deux, sur des forums pro-Europe Turque, autrement plus "nocifs" que celui de la belle bouchère ? Allons sur "Ecrits-vains" un jour, là, t'auras de quoi assouvir ta passion de foutre des baffes mon Obélix. Moi aussi, je suis violemment contre l'adhésion des ottomans aux européens, aussi violemment que toi, et si un jour il y a un référendum là-dessus, pour une fois, nous voterons de la même façon - mais je ne pense pas qu'Alina Reyes soit "l'adversaire".
Tu dis ensuite qu'elle écrit "pour s'amuser". Et alors, on n'a plus le droit de s'amuser ? D'ailleurs, qu'en sais-tu vraiment ? Et si c'était même le cas, où serait le problème ? Où serait le mal, toi le grand spécialiste ? Tu veux Bernanos à tout prix et partout, c'est ça ? Foutaises, mon vieux ! Chacun écrit à sa manière, la tienne comme la sienne. Laisse-la faire sa Crébillonne et va faire ton Donissan ailleurs. Surtout pour dire que tu regrettes finalement de l'avoir publiée dans ta zone. Je ne sais si tu t'en es rendu compte, mais tu as fait rire toute la toile en "découvrant" après coup que ces textes-là n'avaient finalement pas la grandeur que tu leur accordais il y a un an.... L'acuité littéraire du Stalker prise en défaut ! L'Asensio roulé dans la farine des lettres d'une femme qui s'est moquée de lui ! Lui qui l'appelait "sirène" ou "sylphide" dans des commentaires célèbres. Quelle erreur ! Quelle pitié ! Mais qu'on prenne garde, sa vengeance sera terrible ! Il montrera des photos des actionnistes viennois ! Car qu'on se le dise, c'est lui le vrai boucher, pas elle, ha ha ha ha ha ha ha !
Non, Juan, c'est fou comme tu te mets des bâtons toi-même dans les roues et discrédites tout ton travail. Comme tu transformes un duel intellectuel ou politique en petit conflit personnel et sexuel. Un fois, c'était moi, aujourd'hui, c'est Alina, demain, ça sera... On va organiser des paris, tiens ! Fou aussi la manière dont profondément tu ne lis pas ce que l'on écrit, ni même, je te l'ai déjà dit, ce que tu écris toi-même. Ces phrases qui se perdent dans tous les sens, cette syntaxe hasardeuse qui se mord la queue, ce talent indéniable qui est tien et qui finit par t'embrouiller. Moi qui plaide pour la magie et l'onirisme en art, moi qui parlais un jour de défranciser la France, je me trouve finalement bien plus sec, cartésien, la rochefoucaldien, français ! que toi. A à te lire, on a l'impression que tu t'hypnotises toi-même, que tu tombes dans tes propres sorts, avale tes propres potions, cher Jekyl et Hyde que tu es... Car tu es plutôt gentil "en vrai" - alors que moi, je suis.... "le même", n'est-ce pas ? Très sympa la buvette chez Dantec, on recommence quand tu veux, et ne me ressors pas ma tartufferie bien connue (tellement connue qu'on finit par se demander si elle est vraie ou feinte... Faire semblant de faire semblant tu connais ça ? on en parlera un jour), car tu sais que moi, contrairement à toi, je te dis en face ce que j'écris ici, PURITAIN !!!
Alors, que m'écris-tu plus haut ? Ah oui... Tu attends ma démonstration crottée qui prouvera que sur la toile, il y a autre chose que du blabla... Mais Juan, Stalker, frère, copain, connard, tu ne sais vraiment pas lire ??? J'ai commencé mon post en ironisant précisément sur ta propension à chercher désespérement une vraie parole sur la toile. A chercher le blog de Dante sur le net !!! Et pourquoi pas Dostoïevski à la foire du trône non plus ? C'était ça le sens de ma blague en rapport avec ton dialogue avec Autié. Mais bien sûr que non tu ne trouveras jamais aucune vraie parole sur la toile ! Y compris de ceux qui sont dans la vie littéraire de vrais écrivains... La toile, c'est rien en effet. C'est la foire aux vanités, le guignol's band, le pays de cocagne où l'on s'amuse tous avant de devenir des ânes, et toi l'âne bâté (et tout noir) de service qui fonce dans toutes les granges en s'étonnant qu'il ne trouve aucun foin à sa faim. Ta quête est noble, Juan, de chercher en gémissant une voix, mais alors si tu savais comme tu n'es pas sur la bonne voie, dis-donc ! Aucun blog ne te comblera jamais, mon pauvre, car ce que tu recherches n'a rien à voir avec ce qui se passe sur un blog. C'est tellement évident que tu en es ridicule. Un blog, c'est un sorte de laboratoire intime, littéraire ou non, où l'on essaye certaines idées, certaines tendances, qui peut servir de thérapie, très bon la thérapie, j'suis pour ! - c'est forcément exhibitionniste (même pour toi dont on connaît aussi une partie de la vie), souvent jubilatoire, nécessairement source de jalousie et de haine. Il y en a de bons - ceux qu'on fréquente, mais pour ce qui est de ta putain de parole solitaire, je crois qu'il faut passer son chemin.... Et ne pas se mettre à hurler la nuit et le jour au milieu de la rue : "vous n'êtes ni Dante, ni Dostoïevski, ni Faulkner, bordel de merde ! alors arrêtez d'écrire, ARRETEZ D'ECRIRE, saloperie de chier de connasse !!" Au bout de la septième nuit, c'est vrai, on a envie d'envoyer un sceau d'eau...
Elle était drôle cette satire du cabotin des rings, en effet. Dommage que tu l'aies effacée. Je la relis quelquefois, en souvenir du temps où tu étais libre.
Oui.
Non.
Ping.
Pong.
Divine comédie humaine.
Merveilleuse et douce présence humaine.
Les architectures variées, les volumes, les voix.
Les chutes si vastes et les aspirations si hautes du stalker.
La si belle santé circulatoire de montalte.
La douceur d'une ombre chinoise.
Oui.
Non.
Ma faiblesse apocatastatique me perdra.
Pour l'instant, elle fait ma féerie et mon amusement,
ma tendresse et la voile d'un voyage provisoire.
Le Jugement (critique, moral, métaphysique):
une comédie?
une tragédie?
Bal des vampires, valse des dentelles, tango des âmes incendiées,
pogo des chairs d'un soir, menuet des jouissances,...
J'aime aussi, je dois dire, voir tomber les grands lustres
dans un fracas de pierreries et cristals...
Les anges tournent avec fureur au sommet de la Toile,
Ils cherchent des gouffres, des fenêtres, des échelles.
Certains s'apaisent, glissent le long des tentures,
Mangent quelques olives noires, boivent une flûte de champagne.
On préférerait un vieux fût de chêne?
Un horizon marbré et lourd, violent, flamboyant?
Une pureté d'alcool blanc qui incendie l'âme
et donne à l'Univers une température nouvelle?
C'est mon vice et ma tristesse:
Toujours je fus heureux, joyeux même,
à regarder les âmes, les anges, les clowns et les barons,
les princesses et les cochers, les dessus et les dessous,
le oui,
le non,
la divine comédie des eurythmies humaines...
Jusqu'au discord.
J'aime rire aussi, en somme.
Tssss, mon ami, mon bon Montalte, mon gros... sur Alina d'abord.
Je vais te confier quelque chose, un terrible secret, tends ton oreille de bébé cadum : je n'ai lu aucun des textes d'Alina pour la Zone, hormis quelques lignes que j'ai vite laisser tomber, ah !, pris la main dans le sac si tu veux, sans cela, comment crois-tu que j'aurais pu publier une telle marmelade ? Ai-je d'ailleurs écrit une seule ligne sur les livres d'Alinartiste ? Non, car il n'y a rien à en dire que de désagréable...
Sur la Toile : j'ai beaucoup de mal à te comprendre mon fier à bras, toujours matamore dans tes commentaires et, devant moi, filant doux, un vrai agneau où je ne m'y connais pas en ruminants... Vois-tu, je ne suis pas complètement naïf et je sais parfaitement que, sur la Toile, 99% de caca, ni plus ni moins... Seulement, comme je n'ai pas allègrement partouzé comme toi (j'ai des doutes, te connaissant...) et que je suis encore un peu puceau, j'ai du mal à croire que ma quête (donnons-lui ce nom-là, si tu veux...) ne soit pas légitime.
Car qu'est-ce que je demande ? Peu de choses en somme : de la qualité, un style, une tenue, une pensée. Autié sans doute, Slothorp, le Transhumain dont le talent critique (note-le bien, pas seulement cinématographique) t'enfonce à mille lieues sous terre. Note-le encore, je te prie et vous qui nous lisez : j'affirme que ton propre blog contribue à cette médiocrité que je dénonce car enfin, si, paraît-il, tout le monde rigole (mais donne-moi donc les noms de tes bravaches, si ce n'est la petite troupe ridiculissime qui t'entoure mon chéri ?), je puis te dire, aussi, que nombre de tes papiers font rire les chaumières : comment un type intelligent comme toi (si, si) peut-il donc être beauf à ce point, je veux dire, d'un beaufisme revendiqué, recherché, appelé, qui déforme chacune de ses lignes écrites à la va-comme-je-te-pousse ?
Et tes comiques appels à la jouissance ! Mais pauvre con, jouis donc à t'en éclater le gland dans le derrière de toutes les femelles, je m'en contrefiche et d'ailleurs on s'en fout tous, de tes marées spermatiques ou plutôt, de tes REVES de marées spermatiques... Méfies-toi tout de même, tu risques l'arrêt cardiaque faute d'entraînement, hein, qu'on n'aille pas me rendre coupable de la mort, sur le cul d'une belle, d'un faux jésuite et vrai briscard...
Jouis donc à en crever mon petit Sade d'opérette mais, surtout, apprends deux choses : ta verve orale (si je puis dire) est franchement ridicule lorsqu'elle se trouve écrite car, l'ami, laisse-moi te dire que tu ne SAIS pas écrire, hormis peut-être, ce qui n'est tout de même pas une preuve, pour le JdC du bon Joseph qui de toute manière publierait du Florian Zeller si celui-ci pouvait faire augmenter son tirage et le prix de sa revue (près de 20 euros pour des types ne sachant pas écrire, cé pas beau ça ?).
Quoi d'autre ? Je passe, par charité chrétienne, sur tes comiques critiques de cinoche, qui ont fait hurler de rire quelques-uns de mes amis cinéphiles.
Vois-tu, en cinéma, tu n'y connais rien et le Transhumain devrait te botter le cul, lourdaud, à longueur de journée. Je n'y connais rien moi aussi mais j'accepte de ne point me ridiculiser en parlant d'un art que je connais mal... surtout pour défendre bec et ongles les plus infâmes navets... Tu n'es bon que lorsque tu traites d'un art à ton ignoble niveau, celui du pompier mais, sauf erreur de ma part, je n'ai pas lu grand chose d'inspiré, sous ta plume, sur Dreyer, Bergman, Bresson, Tarkovski, Tarr et combien d'autres... Gros beauf qui excelle dans le cinéma du gros beauf, la canette de coca et le cornet de pop corns, le bras droit sur l'épaule de louloute... Beau tableau !
Oh, je sais, tout le monde doit écrire sur tout et c'est pour cela qu'un Montalte, la gueule ouverte du beauf absolu, écrit sur tout...
Ah oui, by the way...
Mon vieux, n'ose jamais prétendre, ici ou en privé, que tu es mon ami : nous nous sommes vus chez Dantec et, ta soeur étant présente, je n'allais tout de même te cracher au visage, si ?
Je sais encore me tenir et toi mon grand, tu écris comme tu te goinfres : comme un porc en somme, oubliant toute retenue et jouant au petit Céline d'arrière-café de commerce ou d'atelier d'écriture.
Tu veux que je te dise ? Mais enfin, d'où te vient cette prétention tienne ? Qui te lit hormis ton cercle de groupies plus ou moins défraîchies et la ribambelle des crétins acéphalisés auxquels l'ouverture de tes commentaires donne une chance, nanotemporelle, d'exister ?
Allez mon grand, au risque de te paraître terriblement prétentieux, ton petit blog est à un million de coudées de ce que d'autres et moi-même tentons de faire sur la Toile (et, pour ne pas plus te ridiculiser, je ne précise pas : et ailleurs, je veux parler des VRAIS livres et des VRAIS articles...).
AH !
Allez, un deuxième, je suis d'excellente humeur : AH !
La tapisserie s'écaille.
Je sors du mur.
Au revoir.
Moi aussi! moi aussi je veux jouer avec les grands au jeu du " Je suis plus fort que Toi" alors si j'ai bien compris y faut citer plein de grands messieurs de l'humanité (pourquoi jamais des Dames?) pour gagner... bon alors je me lance: Jesus, Bouddha, Mahomet et Lao Tseu et heu...Goldorak! (heu non pardon) voila! c'est les plus forts, c'est mes grands frères! et y sont tous des supers prophètes! alors? qu'est ce que vous répondez? c'est les meilleurs, Papa y dit! et puis ya maman qui dit que le plus grand, le plus beau de tous: eh bien c'est DIEU parce qu'il habite dans le ciel et dans nos coeurs et parce qu'il est AMOUR et il nous jujera sur ca et pas sur notre talent littéraire na na nère. Alors vous ferez mieux de vous aimez les uns les autres. bon, je retourne jouez avec mon grand fère Jésus dans son super royaume la haut où tout est beaucoup plus simple.
salut
Pour stalker, la pétasse hystérique de la toile
A vous lire là, je sens que vous êtes un auteur si exigent que nul doute, vos livres doivent être renversants de talent littéraire et de vérités majeures...
Je suppose que oui, on vous a décerné le nobel récemment pour en vouloir autant.
Non ? Comment ? Non ? Mais quelle erreur....
Comment ? Vous n'avez aucune imagination ? Pas de style renversant ? Aucun talent intellectuel affirmé et confirmé ? Pas même le début d'une petite crotte de branlette d'inspiration pour construire ce chef d'oeuvre (que vous attendez déséspérément) qui marquera notre XXI ème siècle ?
Je veux dire : Quoi ? Vous n'êtes qu'un médiocre parmis les médiocres de la toile ?
Le seul endroit où vous resplendissez dans toute votre splendeur de mouche à merde qui pète à tout vent.
Merde alors....
Comment ce fait misérable ?
Les autres sont trop cons pour reconnaître votre talent ?
Quelle misère votre vie de merde.
Haha... Heureusement vous reste l'alcool et vos femelles à niquer.
Enfin pour les femelles va falloir taper dans la jeune naïve ou dans la conne de trente ans qui aime se faire enculer par les freak de votre genre.
Parceque pour les filles de trente ans en état d'équilibre, vous êtes ce qu'on appelle un looser alcoolisé. Un écrivain déjà raté et bien profond dans l'oeuf.
Un critique littéraire hystérique qui chie dans le vide tellement il en peut plus d'être tout sauf ce qu'il rêvait. Pas plus. Mais je vous rassure aussi : Pas moins.
C'est amusant de s'exprimer ainsi en pointillés anonymes. Vous pourriez être n'importe qui… Mais dans la haine hsytérique d'entre vos lignes, on lit Madame Pointillés beaucoup de triste amour déçu. Ne seriez-vous pas une des stalkerettes éplorées de notre brillant Don-Juan ? Déçue de n'avoir pu dépasser les mots et vous glisser dans ses draps ? Ce que l'on sait, c'est que vous avez dans la trentaine, et cette haine ne peut être autre chose que de l'amour. Car vraiment ma jolie, à part lui, qui ECRIT sur la toile ?
En fait stalker, ce qui vous effraie en ce moment (et qui crée toute cette noyade verbale dans votre "parc à crottes" et vos débordements sur les autres blogs), ce n'est pas tant la médiocrité de la toile que vous semblez tout à coup découvrir.
Non. Pauvre tâche infraverbale.
Ce qui vous choque et qui se révèle à vous là, en ce mois d'octobre 2005...
(à marquer au fer rouge tant c'est drôle. Je suis contente d'avoir assisté à ça en direct. C'est mieux que star académy toute cette perte humaine),
c'est la médiocrité de votre vie de merde d'écrivain raté qui ne pisse que du caca
tchernaobilisé et en plus par le mauvais canal.
Oui, Stalker, c'est triste et on la tous compris à travers vos mots et vos cris de femme bafoué :
Vous êtes bien mort à vous et au monde dont vous rêviez. Oui, la grande littérature ne veut pas de vous et ce, malgré tout vos efforts cérébraux de khagneux qui sue.
Mais une bonne nouvelle pour le LOOSER DE LA TOILE 2005 !
J'ai trouvé deux solutions pour vous :
- Trouvez-vous une guenon et faite un gosse. Et passez comme papa ou maman l'ont fait, ces trente prochaines années à espérer qu'il devienne le génie que vous ne serez jamais.
Ou
- Deuxième solution (la meilleure pour l'humanité) une corde bien serrée là où il faut pour en finir avec vos diahrrées. On en trouve des pas cher chez Bricorama en ce moment. 10 euros 50.
Si vous voulez je vous l'offre. Avec en prime un bon cru pour finir tout ce désastre littéraire dans la joie de vous.
Mais pauvre cornichon, parce que tu as publié deux volumes à compte d’auteur et une poignée d’articles répétitifs et soporifiques, tu viens donner ici une leçon de danse ! Tsss tsss ! La toile, mais c’est toi qui la défais en éructant chaque jour cette mauvaise bile qui te fait sentir du bec et de la plume. Tu râcles en vain ces minuscules petits carnets gribouillés des mots « versicolores » recopiés dans le who’s who du mot rare pour finasser des parties d’injure, mais tout cela sent la besogne de l’universitaire rentré que tu n’as pas pu être ! Ascensio, Ascensio, morne plaine, sorti d’Absalon, Absalon ! et des trois romans que tu as lu dix fois, en pauvre khâgneux voulant truquer sa culture, tu es resté ce même petit ver blanc qui s’agite, se triture et se pâme en contrefaisant une douleur, une humeur, une vie que tu ne ressens pas. Tu es mort avant d’avoir ouvert les yeux, pauvre enfant atrophié et tu lestes vers le bas ces blogs mêmes que tu crois frapper. Vas, nabot, retourne à tes écritures et lécher le cul de ceux qui te font vivre et que tu n’oses pas quitter !
C'est vrai ça, le Stalker qu'a-t'il écrit?
Avec un recueil de textes critiques, une biographie, y-a t'il de quoi poser à l'écrivain? Un critique pourquoi pas, mais un écrivain, il ne semble pas qu'il en ait l'étoffe. Toute personne qui a lu trois lignes de Bloy voit bien péniblement comme il n'en est qu'un pitoyable épi-Gône, Bloy qui doit vraiment se retourner dans sa tombe de voir capter sa mémoire par quelqu'un qui éructa un jour sa joie de pouvoir jouïr de la vie parisienne grâce à ses émoluments molletonnés pompés aux mamelles de la putain babylonnienne boursière...
Je n'espère tout de même pas qu'il considère son pensum théologique pseudo-profond sur Judas comme de la littérature?
Il n'est qu'un critique, il en crève.
Un critique ? pffff... Vous allez trop loin caïman.
stlalker n'est tout au plus qu'un élève, enfermé dans sa classe de lettres-sup deuxième année, qui s'amuse pendant la récréation, à jouer au maître en distribuant des points imaginaires à "ses" élèves. Pour lui la littérature se résume à des notes. Des évaluation.
Comme s'il avait la distance nécessaire et la maturité intellectuelle suffisante pour être à la hauteur du Critique avec un grand C.
Regardez bien... Quand même, soyons serieux... Ces propos sur la toile sont du niveau de l'adolescent boutonneux qui se rebelle contre des parents qu'ils découvrent subitement limités.
Je l'avais prédit.
Les embrouilles reprennent entre les deux géants du (pas si) Net (que ça).
Dieu merci, il n'y a pas d'enfants pour assister à ces déchirements.
Et vas-y que j'te traite de pochtron, que je ricane sur ton physique.
Les voisin s'en mèlent.
Stalker, c'est un gars comme ça! Des comme on n'en trouve pas un sur mille. Un gars comme ça! Qu'ils s'exclament les potes à Juan.
Les cormaryens disent que Juan, c'est rien qu'une p'tite bite
Vous faites un peu rétro, les gars. Un peu banlieue années cinquante.
C'est ça la littérature? Putain qu'elle est belle. On se retient d'en bander!
Entre un qui se prend pour Léon Bloy (saint patron des ratés hargneux) et l'autre qui ricane du haut d'une supériorité auto-proclamée, ça fait du boucan dans la rue virtuelle.
C'est pas fini, votre cirque?
Faites-nous des bouquins, pas des commentaires. Alina Reyes, elle, écrit. Avec des naïvetés de gamine. Du talent. De la fulgurance. Prenez-en de la graine!
Arrêtez d'être le couple d'ivrognes de la rue qui provoque de ces rires qui après coup font honte!
Amicalement,
Jacques
Excusez pour les fautes d'orthographe mais, je suis en train de regarder "star académy" et ça n'est pas facile d'écrire en même temps que de découvrir qui va rester au château.
Oui oui, je sais stlalker le prépubère en pleine mutation vocale, je sais : "Starac c'est de la merde et c'est même pas des vrais musiciens, ni des vrais chanteurs ! Ouais... Ils sont tous trop nazes. Que de la merde, comme sur la toile... Ouais"...
Ouias. Voilà le niveau d'analyse du grand Stalker.
Allez, bah, Pierrot, je suis en train de lire du Sophocle... C'est fou comme je me sens loin, tout d'un coup, de toutes ces conneries... De toutes les merveilles, la plus grande des merveilles est l'homme, voilà qui nous remet, tous, à notre petite place...
Me suis dit, grand prince tu vois, que tu étais finalement un homme...
J'ai plaisir à ferrailler avec toi, vraiment même si, voyons... tu me sembles bien moins méchant que d'habitude... Une femme a dû retenir ta frappe légendaire (je rigole) ou je me trompe ?...
Quant aux petites putes anonymes, qu'elles crèvent de leur trouille. J'espère seulement que tu leurs diras, publiquement ou en privé (cela, je ne veux pas y croire), ce que tu penses de leur piètre courage...
Evidemment mÖsssieur lit du SSSSSSSSSSSSSSSophocle (il fallait évidemment qu'il précise) ce soir et il se sent loin de tout ça...
Dans les hautes sphères de la pensée DES HOMMES avec un petit H...
Non. Non. Monsieur ne parle encore d'Humanité. Les femmes ne comptent pas dans sa pensée. Les femmes sont des putes comme maman tout juste bonne à la reproduction. Pas à la création. Nonnon.
C'EST VENDREDI SOIR. On applaudit son courage.
Alors résumons mösssieur, résumé humblement par lui-même :
Mössieur est un passeur... Un stalkeurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr... de la ZONE AVEC UN GRAND Z !
Qui tel un AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIGLE survole la toile !!!!
ET QUELLLE HORRRRRRRRRRREURR !
Mais Môsssssssssssssssssssssssssssssssssssieur est grand prince à ses heures...
Oui, môssieur sait PHILLLLLLLOSOPHER QUAND IL LIT DU SOPHOCLE
Sérieusement LA SERPILLIÈRE DU WEB tu te prends pour qui ?
Et qui comptes-tu épater avec tes posture de tantouse ?
T'ES DANS UN CLICHÉ LLITTÉRAIRE LÀ... TU VOIS PAS ?
Je suppose que tu vas au flore aussi ?
Et que t'as un verre de vin à coté de toi (je veux dire une bouteille), une pipe à la bouche et une veste en velour au coin de ton feu en carton pâte ? Et puis oui, aussi tu te demandes si tu vas te laisser pousser la barbe cette année...
Jacques Etienne, cette fois je vous fais une bise de gamine, si vous voulez bien !
Et une pour les autres aussi, même les enragés, s'ils en veulent !
Montalte, vous avez le chic pour recevoir, on ne s'ennuie pas, chez vous !
Et bien, en voilà-t-il pas un "bonsoir madame-monsieur" de jésuite qui fout sa merde l'air de rien...
Je n'ai rien à voir avec toute cette soirée littéraire moulàtarte (mais d'où vous vient ce nom horrible de porte manteau qui n'exprime rien ? ), alors n'associez pas mon nom à tout ça.
Je viens juste de rentrer de soirée là. Et je suis vierge de tout soupçon et débat. Merci de respecter cette fraîcheur de vivre en paix...
Quand même Esther, c'est la deuxième fois que tu veux pendre un homme en quelques jours, c'est un peu louche (strabisme donc) de vouloir faire du cidre de leur pomme d'Adam ! Pour l'occasion Baudelaire prend le micro, "Un Voyage à Cythère"
"(...)De féroces oiseaux perchés sur leur pâture
Détruisaient avec rage un pendu déjà mûr,
Chacun plantant, comme un outil, son bec impur
Dans tous les coins saignants de cette pourriture;
Les yeux étaient deux trous, et du ventre effondré
Les intestins pesants lui coulaient sur les cuisses,
Et ses bourreaux, gorgés de hideuses délices,
L'avaient à coups de bec absolument châtré.
Sous les pieds, un troupeau de jaloux quadrupèdes,
Le museau relevé, tournoyait et rôdait;
Une plus grande bête au milieu s'agitait
Comme un exécuteur entouré de ses aides.
Habitant de Cythère, enfant d'un ciel si beau,
Silencieusement tu souffrais ces insultes
En expiation de tes infâmes cultes
Et des péchés qui t'ont interdit le tombeau.
Ridicule pendu, tes douleurs sont les miennes!
Je sentis, à l'aspect de tes membres flottants,
Comme un vomissement, remonter vers mes dents
Le long fleuve de fiel des douleurs anciennes;
Devant toi, pauvre diable au souvenir si cher,
J'ai senti tous les becs et toutes les mâchoires
Des corbeaux lancinants et des panthères noires
Qui jadis aimaient tant à triturer ma chair.
- Le ciel était charmant, la mer était unie;
Pour moi tout était noir et sanglant désormais,
Hélas! et j'avais, comme en un suaire épais,
Le coeur enseveli dans cette allégorie.
Dans ton île, ô Vénus! je n'ai trouvé debout
Qu'un gibet symbolique où pendait mon image...
- Ah! Seigneur! donnez-moi la force et le courage
De contempler mon coeur et mon corps sans dégoût!"
Oui Esther la Manipulatrice (avec un grand M. de main, de mère et de mort) en fait toujours un peu trop. Dans tous les sens. Elle veut faire réagir autrui, le/la changer de fond en comble. Ce faisant, elle devrait penser à elle. Elle se remplit tant en miroirs faux et fallacieux de ce qu'elle pense qu'autrui est (c'est une empathique au fond) que je me demande si elle n'est pas, elle, que vide glacial et éponge. Prends soin de Toi Esther, tu me sembles loin de la guérison, vraiment pas sur la bonne voie...
À propos de
X, Y, XX, XY, YY, YX et
à propos de moi:
«Un Ange furieux fond du ciel comme un aigle,
Du mécréant saisit à plein poing les cheveux,
Et dit, le secouant: "Tu connaîtras la règle!
(Car je suis ton bon Ange, entends-tu?) Je le veux!
Sache qu'il faut aimer, sans faire la grimace,
Le pauvre, le méchant, le tordu, l'hébété,
Pour que tu puisses faire à Jésus, quand il passe,
Un tapis triomphal avec ta charité.
Tel est l'Amour! Avant que ton cœur ne se blase,
À la gloire de Dieu rallume ton extase,
C'est la Volupté vraie aux durables appas!"
Et l'Ange, châtiant autant, ma foi! qu'il aime,
De ses poings de géant torture l'anathème;
Mais le damné répond toujours: "Je ne veux pas!"»
C.B.
Oui-oui, c'est ça docteur freud, allez plutôt corriger votre note sur poulain de la barre qui est un tissus de conneries.
Rassurez-moi aussi : Quand vous étiiez aux états-unis, vous n'avez pas fréquenté l'université ? Tout au plus les magasins n'est-ce pas ? N'ayez pas honte, c'est tout à fait envisageable et visible. Ca se sent à plein nez que votre cerveau n'a été baigné dans rien.
Parceque c'est pas possible de débiter des conneries pareilles sur des trucs dont visiblement on ne sait absolument que dalle.
Et puis, plutôt que de m'indiquer la bonne voie (comme s'il y en avait une et qu'en plus vous la connaissiez).
Contentez-vos de finir votre thèse...
L'humanité en a sûrement besoin (hihihihihi=rire de comic).
Et après faites-nous un gosse rapidement.
Il est clair, à votre ton paternaliste de mère morale, que vous êtes en manque de pouvoir et qu'une ponte pourrait résoudre tout ça.
Pauvre enfants (hihihihi=rire de comic)
note pour virginie bien sur.
J'avais compris Esther. C'est bien, continuez de jouer votre personnage. Ce n'est jamais lassant (un peu d'ironie se glisse ici !). Et puis vous me faites rire (et ici, nulle ironie). Vous ne savez pas jouer autre chose que les caricatures. Mais au moins jouez vous !
Je ne joue pas mon personnage quand je vous dis tout ça. Je le pense vraiment. Comment ? C'est interdit dans votre monde de vous penser en grosse naze débile ?
Vous êtes la princesse à papa ? Et personne n'a le droit de vous trouver conne ?
Mais bien entendu que vous avez le droit ma jolie ! Si vous saviez comme je suis habituée aux claques et aux coups... Et pourtant je continue de tendre l'autre joue. Tout cela ne m'atteint en rien, parce que je sais ce que je suis et qui je suis, tout simplement. Et je garde ce secret d'essence pour moi ! Continuez, continuez votre cirque, amusez vous. Mais n'oubliez pas de penser aussi à vous (bis), car vous ne cesser de jouer aux miroirs et que, sans freudisme aucun, on sent que vous souffrez. Alors allez y, frappez, hurlez, si ce virtuel vous sert et vous guéri, tant mieux !
Bon d'accord et ceci n'est pas dit pour être contredit je vous en supplie!
Bon d'accord je suis un idiot amphigougaritique pré-post-phénicien et je vais bientôt régler mes propres comptes avec Gaspar L. on va voir ça attends mon toucan quelques dizaines de chapitres et nous allons mourir et brûler et respirer et libérer l'Air de l'Univers et sans doute aussi, promesse stellaire, de la blogosphère.
Donc, d'accord.
Mais, dit le toucan qui fait le dindon,
Baudelaire est-il inivisible par ici pour réveiller les cœurs
ou les terroriser comme d'un amour d'Ange?
(ce fut le point numéro 1)
Et quand M. Asensio, par Sophocle transcendé,
revient pour dire l'humanité de Montalte,
n'est-ce point divine comédie humaine?
Avec le grand cycle (quand même plus fort que Tolkien)
de la main et du cœur, de la voix de Dante?
(ce fut le point numéro 2)
Il me vient parfois l'idée de l'Action directe.
La clarté et l'argument, un peu de la francité dont parle notre hôte
(décidément généreux envers les nanoblogovocisphérés).
Mais non!
Complexion!
Vice!
Ce n'est pas ma faute!
À l'Action indirecte je préférerai toujour celle de Mallarmé:
L'Action restreinte.
Oh! la mienne est plus que restreinte,
microgrammadramatique!
cryptogymnocomique!
Mais qu'importe!
Le toucan n'est pas (en) cause.
Rien n'est concerné par «moi».
Mais quelques paroles en revanche plus hautes?
Je ne sais pas. Je boude.
Je remonte dans mon nid couver mes œufs.
C'est grotestque un toucan, ça croit au Phénix.
Des fois que dans le lot des œufs,
il y en aurait un qui ne serait pas le mien.
Flop! Flop!
Attention virginie. Oui.
Il y a de fortes chances pour que papa vous ait menti... Non vous n'êtes pas le génie littéraire de ce siècle (pas plus que stalker votre double en terme d'auto-suffisance ridicule ne l'est. Mais sans doute pour lui maman à trop espéré. C'est connu la zone érogène...)
Et non vous n'êtes pas renversante de pertinence, de finesse et d'intelligence.
Oui, Virginie, il n'y a que dans votre tête que vous brillez.
Dites merci à papa, c'est déjà ça.
Et encore, apparement vous avez des choses à lui prouver parceque vous sentez que cette histoire de diamant filial qu'il vous a refilé n'est pas claire.
Oui virginie, il se pourrait que vous ayez capté qu'il vous ait menti... Et qu'il vous trouve dinde au fond.
D'où ces rivalités avec les femmes (et moi) et ces désirs d'être aimer par tous les mâles qui passent.
D'où votre attirance pour ce phallocratus passeur poilu.
Votre papa n'aimez pas les femmes Virginie. Et vous virgine, vous êtes une femme. Enfin une dinde, je veux dire. Attention si vous faites une fille, il ya de forte chance que vous soyez déçu. Car vous êtes misogyne Virginie. Et pas qu'un peu. Fille à papa oblige....Ca se sent à plein nez ça. Et après ça vient me parler de féminisme...
Hum... Que de blabla !
Vous n'avez rien compris Esther... Dommage !
Mais je ne vous en veux pas. Vos mots sont mes éclats de rire de ce matin.
Je ne peux poursuivre ce qui n'étais en rien une conversation. Car oui mes écrits studieux changeront le monde (= immense éclat de rire), que je suis "le génie littéraire de ce siècle" (= éclat de rire grandiose) alors je dois m'y mettre. Je reviendrai plus tard, et vous remercie du fond du coeur de vos belles folies. Et puis tiens, j'ose, je vous embrasse - et sur la bouche !...
Je suppose que cela seul vous réduira au silence (et encore...)
Parceque ça prétend s'y connaître. Mais les femmes sont des rivales pour vous pauvre virginie. Pas plus pas moins. D'ailleurs je pari que vous avez peu d'amies fille (elles doivent toutes se sauver en apprenant à vous connaître de cette suffisance qui s'écoute parler). Vous les trouvez sans doute trop connes aussi, trop futiles....
Par contre, vous pâmer sur l'intelligence masculine stlakrette ça vous savez. Attention, lorsque vous pondrez, partaiquez l'échographie et un conseil, choississez le sexe comme en Chine.
Parcequ'une fille entre vos bras de mèrecastrée n'a aucune chance de s'en sortir. Par contre vous jouirez bien, j'en suis sure, à nous sortir une petite bite de votre ventre. Voilà votre zone érogène de la vie Virginie. Toute inscrite dans sa misère. Oui virginie, pour moi vous êtes la misère humaine. Le quart monde.
Mais qu'importe!
Le toucan n'est pas (en) cause.
Rien n'est concerné par «moi».
Mais quelques paroles en revanche plus hautes?
Je ne sais pas. Je boude.
Je remonte dans mon nid couver mes œufs.
C'est grotestque un toucan, ça croit au Phénix.
Des fois que dans le lot des œufs,
il y en aurait un qui ne serait pas le mien.
Parceque vous croyez que je ne vous lis pas gaspar L. ? Je comprends TOUT ce que vous me dites. Et je vous lis.
Ah d'accord.
Comme ça je comprends mieux maintenant
(je suis helvète, il me faut tout le temps de l'univers),
pourquoi l'action archirestreinte est inaudible.
Je suis triste.
Est-ce si idiot que ça?
Argh!
Accident de toucan!
Avanie!
Arcadie!
On arrête tout (moi) et j'arrête de recommencer!
Mon dernier mot fut écrit avant votre réponse, Esther.
Donc on comprend ainsi voilà.
Je me sens... comment dire?
d'une idiotie souveraine, ce matin.
Une hébétude qui n'eût point renié Bataille.
Et là-dedans, voyez-vous,
pour le dire à la hauteur de mon âme du moment,
Je ne puis m'empêcher de vous aimer tendrement,
Parmi vos mots et vos violences, vos tendresses et vos soulèvements d'ailes froissées, sanglantes, bleutées, réelles, puissantes, et tout et tout.
Quand je dis vous,
riez un coup!
c'est vous, toutes, tous.
Ah lala, faut que j'aille me recoucher.
Histoire de refabriquer dans mes veines la potion d'une petite intelligence.
Désolé pour mes sottises.
Mais quand même, à vous,
Si vous représentez "la femme" Esther, alors je suis sans doute "misogyne" car - m'en voudra t'on de cet aveu ? - je déteste les chiennes de garde autant que j'adore l'élément féminin, et je l'ai écrit ailleurs. Et si vous étiez d'ailleurs "l'humanité", comme je serais "misanthrope" !
Je ne suis ni l'un(e), ni l'autre, je n'ai pas de haine en moi, tout simplement. Et mes amies se portent bien. Merci.
J'aimerais que, parce qu'innommables, insupportables, ces com' soient impossibles. J'ai l'impression d'ouvrir Terres Mortes, et cette didascalie qui vaut pour toute le texte : "Le Fils crie désespéré" (.........
Mawie, Mawie - ceci est jeu de masques (et d'ombres!)
C'est pourquoi ton amie E. a tort de s'adresser à mon prénom. Je ne suis pas vraiment ce que j'écris, tu le sais bien, tu m'as vue! - ce qui ne veut pas dire que mes textes soient faux. Le gentil toucan et toi avaient tort de prendre ces faux débats au sérieux. Et Esther aussi ! Nous sommes ici dans les surfaces, loin trop loin des profondeurs des voix intimes et des âmes. La Toile. Les blogs. Des miroirs dans les miroirs, tout simplement.
Montalte, il me semble t'avoir lu affirmer que tu ne supportais guère les insultes gratuites. Essaie donc de calmer cette Esther qui apparemment ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Fais-le à ma place parce que, comme je l'ai transmis à Mawie, je risque vraiment de m'énerver, ayant fini ma lecture de Sophocle : plus rien, désormais, ne me retient.
J'espère avoir été bien clair.
D'ailleurs, qu'on se le dise : j'attends avec une réelle convoitise les messages de toutes les petites sous-merdes anonymes. Mon adresse est connue de tous : j'offre un DVD du Stalker à la plus courageuse de ces missives...
Marrant mais pour l'instant je ne vois rien venir...
Ah oui, Montalte, je n'ai pas relevé, hier, mais, pour que les choses soient claires, je n'ai jamais eu l'idée, grands dieux non, de mettre Alinartiste dans mon lit orageux !...
Une confidence, je préfère, et de loin, ta louloute (petite brune pétillante au croquant prénom...) mais comme, du premier regard, j'ai compris que sa porte m'était verouillée à quadruple tour (animal ayant mangé sa serrure, bien sûr...), je me suis vengé sur les autres...
Genre d'explication goûtée, je crois, par les pétasses psychon-psycha-psycul...
peux pas pour l'instant... Eventuellement ce soir (encore que... la méchanceté d'esther est fantastique, divine... Elle nous bat tous.... A son niveau, c'est de l'art)... Débrouillez-vous sans moi...
Non Montalte, la méchanceté, souvent, est d'une rare intelligence et elle porte alors un autre nom : l'ironie, celle, suprême, d'un Talleyrand...
Je ne vois dans la prose défécatoire de cette chienne hurlante et bavante rien de plus que de la connerie à son état le plus pur...
Et une grande lâcheté, je l'ai dit.
Pauvre fille qui mérite une bonne cure et une grande cellule capitonnée.
Ouais va d'abord t'inscrire aux AA après, on parlera de mon cas si tu veux bien...
Esther, si t'as des choses à dire au Stalker, voire des conseils à lui donner (on aura tout vu), pourquoi ne lui écris tu pas en privé, sinon par immense lâcheté ? Tu n'est pas seulement, simplement lâche, tu as besoin d'un public pour exprimer ta folie. C'est pourquoi il faudra qu'elle soit grande ta cellule, que tu te sentes écoutée et surtout pas étouffée, de peur d'en mourir. Ah pauvre, pauvre folle, comme tu manques d'Amour, comme tu aimerais que l'on t'aime !
qui me parle là ? moi de moi ? ou moi d'esther ? A moins que ça ne soit esther de moi ?
Cher Monsieur Asensio,
A défaut de grande, ou petite cellelue capitonnée, je vous adresse une minuscule remarque seulement, un de ces détails qui forment un seuil indécis sur lequel hésite et chancelle un instant l'ange déplumé de la vérité.
Le couteau de la Justice n'est aimable que s'il est parfaitement juste et tranchant.
Dans le cas contraire, il glisse insensiblement du côté du bourreau ou du sanhedrin.
Un petit détail m'interroge dans votre dernière note au demeurant brillante qui déplie de l'idée de la Revue sous la condition d'une infusion d'âme, laquelle doit précèder le commerce de la diffisusion.
Vous évoquez, en passant, les passages de Walter Benjamin.
À lire votre note éclaire sur le grand livre, en effet, de Pierre Bouretz, ce Nom vous est cher et je comprends bien pourquoi.
Un détail seulement donc, un de ces petits tiens! si chers au grand penseur berlinois:
Vous parlez de « de reconquérir le statut de l'objet encore auréolé de son prestige que Walter Benjamin s'efforça, sa vie durant, de retrouver dans certaines œuvres d'art, dans la furtivité essentielle des passages parisiens, d'une poésie de l'éphémère magnifiée par Baudelaire ou dans l'assemblage savant, secret, des collectionneurs, des bibliothèques aussi, puisque toute bibliothèque est la trace remarquable d'une bizarrerie de l'humeur et de l'âme de son propriétaire, en clair : une monstruosité.»
Belle évocation, presque juste.
Benjamin partagerait votre tristesse et vos nuits critiques, c'est certain. Je doute en revanche qu'il en eût partagé l'humeur et la colère, et justement pour la raison qui m'occupe dans mon détail:il cherche à retrouver la furtivité, la trace, l'âme infusée et l'aura, c'est vrai. Mais il la sait perdue, mieux que vous, me semble-t-il.
En particulier bien sûr, puisque vous en parlez, lorsqu'il s'agit de Baudelaire.
C'est pourquoi je crois que l'idée de «reconquérir» l'aura ou l'auréole lui est étrangère. Le mot trahit une autre univers, une autre lutte, un autre esprit.
C'est le vôtre, il a sa grandeur dans ses humeurs et ses couleurs, sa présence et sa voix qui s'élève à l'intérieur d'elle-même dans une colonne d'ombres soufflées qui tournent, repoussent et font tomber, laissant ici ou là briller, un instant seulement mais vraiment, il faut le dire, quelques étoiles.
Les vôtres sont belles et puissantes, immenses souvent, souvent passées.
En cette petite différence entre Benjamin et vous, je crois, se cache une différence réelle qui oriente deux regards différents sur le temps.
Le vôtre fixe le présent et le futur dans une certaine fureur qui n'exclut pas l'acuité.
Pour autant, vous êtes humain, que la justice reste le couteau propre de l'amour, et non la scie d'amertume.
Vous voulez reconquérir l'auréole incendiée de vos clartés.
Benjamin est plus triste, plus saturnien, plus tendre aussi que vous.
L'Ange de Benjamin (c'est toujours l'Ange d'un Autre, en l'occurrence celui de Klee) se tourne vers le passé, poussé à contre-temps vers l'avenir, effaré dans le présent.
On peut le lui reprocher. C'est seulement sa vérité singulière, comme vous parlez de singularité.
La vôtre est différente. Vous ne voulez pas de cet Ange, me semble-t-il, en son orientation. Vous connaissez le regard de l'Ange Benjamin, mais votre corps se retourne avec puissance contre le temps, non pas contre le passé qui pend sous vous ailes, mais en face du présent, sous le front d'un avenir aux promesses incertaines.
Et face au présent, votre ange souffre et fait souffrir, s'attaque au temps, malmène les objets sans auréole et les êtres à l'âme pauvre.
C'est ce que je lis dans ce détail, cette différence, ce léger écart entre Benjamin et vous. Vous comprendrez bien que tout ceci concerne directement la parole qui vous lie dans cette suite de commentaires et ces disputes amères, la qualité et la présence de votre œil à l'ouverture des textes (pauvres et pâles) du présent, le son que rend votre cœur lorsqu'il parle ici.
Vous comprendrez aussi que je n'ai pas l'idée saugrenue de vous faire ici quelque reproche. je serais bien malvenu de le faire, étant donné mon propre rapport au temps et à la parole.
Mais je tenais à cette remarque: je me suis promis, à admirer votre plume, de rester juste jusqu'au détail. En voici un qui me semblait troublant et troublé.
De mon cœur sans valeur (vous pouvez vous y acharnez comme sur ma langue, cet acharnement me serait étranger), à votre cœur trop solitaire,
Cordialement,
Cher Thierry,
Ce que vous dites de Benjamin et ce faisant d'Asensio est fort beau. Mais je trouve qu'en tournant autour de la figure de l'Ange, vous en oubliez le Benjamin des fantasmagories du Paris du XIX celui qui admire presque Blanqui, lorsqu'il écrit qu'il n'y a "pas de progrès", que l'univers entier (= la modernité) "piaffe sur place", éternellement : Benjamin aussi s'attaquait au temps !
Oui! Justement! Autrement!
(Mais si j'entrais maintenant dans le dédale théologico-politique de Benjamin, ...)
"Que ceux qui ont des oreilles entendent :" http://saint-gilles.hautetfort.com/
Il y a bien un commentaire ou deux de Pierre Driout, cachés dans le tas ???....
Salut les gens,
Je viens de relire tous ces commentaires, et je tiens à ce que vous sachiez que ce message est ma toute première intervention sur le fil de cette discussion charmante. Je ne suis jamais dans l'anonymat et si j'ai des choses à dire, je suis du genre à décrocher mon téléphone, ai-je seulement besoin de le préciser ?
Juan Asensio est un garçon brillant, aiguillonné par son profond tourment.
Ses articles critiques, même à creuser indéfiniment et désespérément le même sillon, ne lui suffisent pas à exprimer ce tourment.
"Je ne suis pas une intellectuelle, je suis une artiste", lui ai-je dit la veille du jour où il essaya de s'alléger de son tonneau des Danaïdes d'ordures en le déversant sur moi - vaine opération condamnée à être perpétuellement renouvelée - nous assistons tous depuis longtemps à ses débordements pénibles dans la blogosphère.
Pourquoi ce mot d' "artiste" a-t-il contribué à le mettre en fureur ? Ainsi qu'il l'a noté après avoir rencontré Dantec, l'artiste transforme son tourment dans son art, et il est doux dans ses relations humaines.
Comme tout un chacun le "Stalker" peut apprécier plus ou moins, beaucoup ou pas du tout, tel ou tel auteur de livres ou de blogs. Cela ne justifie en rien la bassesse misérable de ses attaques (j'ai lu ici l'autre fil ancien où vous aviez dû supprimer ses commentaires injurieux à votre égard et à ceux de vos proches, Montalte, toujours dans l'injure sexuelle d'ailleurs).
L'énorme conflit intérieur auquel il nous donne d'assister est celui d'un fils unique qui veut absolument rester roi sans parvenir à regarder sereinement son Père.
En fait, Stalker, tu n'es pas intelligent. Tu es seulement instruit.
Et si tu savais gérer tes capacités relationnelles, tu n'aurais pas besoin d'internet pour te cacher.
Que fais-tu jeudi à 16h?
Tu ne serais pas capable d'entendre la vérité face-à-face, à moins que...chiche !
Voici officiellement ces commentaires (ci-dessus) devenu petites annonces:
[EN PLUS BREF, EXCLUSIF : Jf, par., lectrice ch Stalk. pour lui enseigner comment "gérer ses capacités relationnelles". Rdv jeudi, 16h, au Rostand.]
C'est n'importe quoi minette. Vous vous prenez pour qui d'ailleurs ?
Grands dieux, cela devient proprement risible...
Alinartiste, à votre grand âge, méfiez-vous, le ridicule risque de creuser quelques nouvelles rides dans votre visage d'éternelle Candy !
Je n'ose croire, tout de même, que vous êtes l'auteur de cette nouvelle connerie bien capable de figurer en première page d'un Biba, nom de Dieu, comme j'ai bien fait de vous flanquer hors de la Zone qui n'a pas besoin de lait pâle de femelle en mal de rut pour se sustenter...
Vous me faites de la peine, je vous plains : pensez donc à vous recycler parce que le gentil érotisme, à la longue, risque de vous flanquer une sacrée crampe de la main et, à vos lecteurs, une irrésistible envie de bâiller...
juanasensio@hotmail.com pour tout rdv galant, cassage de gueule caractérisé ou coup de pied au large cul de qui le souhaitera.
Prix de groupe possible, voire souhaitable.
Hommes déguisés en femmes s'abstenir, même pour une simple discussion, je suis invinciblement hétéro...
Marrant mais j'ai comme l'impression que nos castratrices vont se dégonfler...
Allez, la Zone réclame sa nourriture, j'ai tout de même mieux à faire que de traîner dans un salon où de pauvres connes me font la danse du ventre, à leur façon détournée...
Ah !
Je confirme, que si j'ai tout lu (les commentaires chez Pierre sont aussi riches que ses interventions), je ne suis pas intervenue une seule fois sous anonymat ici, ou par le passé...
Voilà qui est rétabli.
Ce serait tellement facile de vous répondre sur le même registre, Juan. Mais j'en aurais trop honte, et puisque vous me les rappelez sans cesse, je veux vous dire que mes rides et mon allure de jeune fille, je les dois à une vie amoureuse qui fut toujours très riche et qui l'est toujours, je les dois aussi à mon amour de mère pour mes quatre fils, à toutes ces fatigues de vie pleinement vécue et toutes ces sources de fraicheur.
Pour en revenir aux artistes, avez-vous remarqué que même très abîmés par le temps, par la vie, ils restent toujours d'une jeunesse étonnante ? D'ailleurs rassurez-vous, je n'aime (et avec quelle force !) et je n'ai jamais aimé que des artistes, qu'ils soient modestes ou très grands.
(pour l'éternelle jeunesse, voilà, en passant, le "petit truc" ! bien meilleur que les conseils de Biba... où l'on trouve peu, me semble-t-il de considérations spirituelles - vous vous obstinez à ne pas vouloir l'entendre mais je vous parle toujours sur ce registre puisque c'est le vôtre et celui sur lequel vous nous parlez à travers vos textes, et c'est pourquoi je vous parle encore ici, pour le reste j'ai mieux à faire que de me soucier des soucis psy des uns et des autres, c'est d'un ennui !)
À moins qu'il n'y ait un artiste qui attende en vous ? Qui sait ?
----- Original Message -----
From: "Juan Asensio"
To: X
Sent: Saturday, October 22, 2005 12:05 PM
> X, si tu es dans les parages, transmet de ma part ce message, tel
> quel, à la sale garce d'Esther. Qu'elle
> m'écrive cette putain mal tronchée, si elle a un problème avec moi, est-ce
> assez clair...?
>
> Des coups de pieds se perdent, dans le ventre de cette chienne, histoire
> de lui faire cracher sa haine...
>
> Puisqu'elle est si courageuse, hein, qu'elle m'écrive, nous verrons
> bien...
>
> Je ne rigole vraiment pas, dis-lui de se calmer ou je sors l'artillerie
> lourde, et en public...
> Puatin de connasse, pour qui se prend-elle ?
>
> J'en ai marre de cette sous-merde anonyme, vraiment. Innacceptable et je
> ne te sens pas bien disposée, de ton côté, pour lui claquer le bec...
>
> Juan Asensio
> Stalker, dissection du cadavre de la littérature
___________________________________________________________
Aucun contact d'aucune sorte avec les pétasses de votre genre stalker.
Inutile donc de me faire des appels du pieds désespérés.
Votre petite bite d'éjaculateur précoce ne m'intéresse pas.
Je n'ai RIEN à voir avec vous et vos pollutions nocturnes d'adolescent sucé trop longtemps par sa mère.
Pour moi, vous n'existez pas Stalker.
Quant à vos leçons de "courage", vous pouvez vous les mettre bien profond dans le trou qui vous sert d'anus ou d'encrier selon les heures.
Esther, tu veux que j'en publie aussi des messages PRIVES pour que l'on en sache plus sur toi ?
Ah, tu es une belle amie, vraiment.
Fais attention au retour de flammes. Certaines sont fort dangereuses.
Pour le courage, c'est toi qui repassera d'oser mettre tes soit-disant amies dans de telles situations. Et c'est toi qui me traite de misogyne ?
Tu n'as en toi que de la haine. Et c'est bien triste.
Cesse donc de t'apitoyer sur mon sort fausse pleureuse et regarde-toi plutôt dans une glace : la haine et la jalousie déforme ton visage.
Pauvre reine de conte de fée.
Bien.
Pierrot, assez joué, cela devient lamentable, cette folle pète un câble et, j'en suis certain, blesse celles qui lui ont fait confiance.
Je viens d'ailleurs de recevoir un message d'Alina qui me dit qu'elle n'y est pour rien...
Pauvre folle d'Esther : en public, je te le dis, pauvre chienne. Des coups de pied sur ta face de méduse haineuse se perdent.
Compte sur moi, si d'aventure je devais te croiser, pour te laisser un inoubliable souvenir.
Dire que la terre est infectée de ce genre de pathétique salope consummée de haine...
Puisqu'il semble que certains messages puissent prêter à confusion, je précise moi aussi que je signe toujours de mon nom !
A la fausse "blanche neige" noire comme du charbon :
La haine et la jalousie certainement pas, ma jolie folle à lier !...
Rire de ta folie, certes déforme mon visage, et puis l'amour aussi - en un gentil sourire ! Alors fausse pleureuse oui, ce n'est pas au fond pour toi que j'ai de la peine mais pour celle(s) et ceux que tu fais quotidiennement souffrir en tes virtualités.
Esther ou qui que tu sois, je te promets que tu paieras ce que tu viens de faire, non pas publier un courriel privé mais le fait de mettre en indélicatesse celle à qui je l'ai envoyé...
Chienne, n'as-tu pas honte de ce que tu fais ?
Laissez-moi vous apprendre une ou deux choses, mesdames et messieurs : cette folle traîne sur les forums réservés aux anorexiques et y fait croire que telle ou telle s'est suicidée...
Pauvre folle, tu mérites une corde.
Pour t'y pendre et y crever fort lentement, charogne baisée par quelques corbeaux.
Espère ne jamais croiser ma route, car, pour ma part, je te fais une promesse : je n'oublierai jamais ta vilenie.
stlaker la serpillière de l'humanité,
Tes menaces physiques publiques et privées te révèlent dans toute ta médiocrité de sous-homme. Elle s'inscrivent là et rien ne se perd ici, tout se transforme...
Quant à CERTAINES de mes amitiés, qui vous rongent apparement plus que de raison et qui vous perturbent particulièrement (on se demande pourquoi, n'est-ce pas virginie la baveuse ?).
Sachez et lisez une bonne fois pour toutes que ce courrier m'était PERSONNELLEMENT adressé par vous, stalker la gonflette du ring.
Et que la personne qui me l'a transmis n'a rien à voir avec tout ça.
Si ce n'est bien sûr, qu'"on" lui a fait tenir le rôle répugnant de "messager".
En lui demandant, qui plus est et avec tous les culots du monde, "de me fermer le bec" au passage...
Et donc explicitement, de se méler d'une chose qui ne la regardait en rien.
Je ne demande personnellement pas à mes "amis" de prende parti pour moi et de me défendre là où je suis dépassée.
Non. Je n'ai pas ce genre de lâcheté ridicule stlaker la tapette.
Je ne cherche pas à diviser non plus pour régner. Je n'ai pas besoin de régner virginie le nombril du monde.
Je suis une adulte, je m'assume. Seule.
Stlaker vous utilisez les autres pour écraser. Les plus fragiles ou les plus sensibles. Tout est bon.
Virginie, votre jalousie n'a pas de limite. L'essentiel étant pour vous de régner sur le coeur des hommes. Sans scrupule.
Vos manipulations sont visibles et grossières. Vos ficelles sont usées.
Que vous tentiez déséspérement l'un et l'autre de la poser dans vos histoires avec moi, alors qu'elle n'a rien à y faire... Strictement rien.... Montre en effet à quel point vos amitiés à vous, sont douteuses. Et manipulatrices.
Alors suffit de "votre confiance" et de vos faux attendrissements. On sait ce que tout cela cache.
Esther, esther, qui ne lit pas mais qui juge, le temps nous dira bien ce qu'il en est pour l'amitié. Tu continues avec tes miroirs et ne t'en sors pas. C'est la plus facile des ficelles, la plus ridicule des manipulations que ce "c'est pas toi c'est moi". Nulle once de réthorique. Ah ! La belle enfance des cours de récré... En te relisant je vois d'ailleurs que tes scructures linguistiques reviennent sans cesse. Un cycle dans lequel tu t'enfermes toute seule, en ta folie.
Il est vrai que je ne te connais pas, sinon via une autre, et via ce que tu écris ici ou ailleurs, toujours emplie de haine, jamais jamais d'amour. Comment veux-tu alors que je ne t'imagine pas haineuse ?
Manipulatrice, cela tu l'es. Tous tes commentaires en sont la preuve, et il n'y a pas de porte de sortie avec toi, pas de discussion non plus parce que tu renvoies toutes les balles, en mur. Surface plate et lisse. Rien de plus. Donc fort lassant - et fort triste.
Je n'ai que faire de tes jugements, de tes avis sur qui je suis. Ceux et celles qui me connaissent savent. Moi aussi. Les autres au bout du compte comptent si peu ! Mais que tu fasses de la peine aux autres, cela je ne peux pas l'admettre. Je tiens en la vie. En l'amour. En la Lecture. En certaines beaux idéaux. Tu es le vide, le noir, la cruauté acerbe. Et il en faut pour que le reste existe...
Et bien sûr le reste... C'est le beau le pur le plein...
Et bien sûr... qu'est-ce que tu nous dis là ? Le beau le pur le plein... He ben (dans un grand éclat de rire) c'est toi évidemment .... Enfin toi...
Toi et le monde merveilleux... pleins de livres, d'esprit que tu disperses à travers ton blog de poètesse et tes propos de grande sagesse....
Enfin non... C'est vrai, j'oubliais grande prétresse du bien. Non c'est vrai toi, tu es trop humble pour dire ça directement... Non toi, tu te contentes de lire en silence pieusement le beau le plein et tu baisses les yeux, la bouche en coeur devant les compliments... le beau le plein... Non ce n'est pas toi... tu n'as pas ce cette vanité voyons !!! J'oublie toujours, grande prétesse du blog, tu es HUUUUUMBLE.
Oui, tu es huuumble. De la même humilité dont est fait ce nouveau chevalier servant qui vient à l'instant de naître en direct devant nous... J''ai nommé le grand le fort l'intelligent Staaaaaallllker... Qui défendra dorénavant la veuve et l'orphelin de la méchante esthhhher...
Pauvre tâche va, tu t'éblouis de partout à force de tenter le coup de la fausse humilité. Tu crois que tu suintes pas tout ce que tu caches ?
Artistiquement, littérairement, je ne sais pas ce que tous vous valez (même si chacun d'entre vous semble se situer très haut dans sa propre estime), mais humainement... Le spectacle que vous donnez, tous sans exception, est sinistre et pathétique. Quel triste panier de crabes ! Quelle joute mesquine, quel déballage sordide !
Vous devriez vous relire, sincèrement, et je dis ça pour votre bien. Au moins faites-vous rire les passants dont je suis : on en vient à souhaiter la prochaine "vilennie" qui viendra relancer la machine infernale. Ah ! C'est que ça n'a pas l'air près de s'arrêter...
Un conseil cependant : faites que ça devienne un peu plus croustillant. Vous visez déjà bien en-deçà de la ceinture, certes, et c'est une bonne chose, mais lâchez-vous un peu plus : on aimerait vraiment en apprendre plus sur les coucheries et petites perversités des uns et des autres.
franchement toi et ton prince de Lu vous me faites trop mourir de rire... Mais vous vous croyez où là ?
urk urk urk tu peux participer si tu t'ennuies et si tu veux que ça croustille. Parles nous des dernières règles de ta femme ou de ta prochaine séance de masturbation. A quoi tu tu penseras, comment tu feras... A qui tu penseras.
Merci Urk Urk. Je ris beaucoup ce faisant moi aussi !
Esther, ma chérie, comme je l'ai écrit plus haut, on ne peut que t'opposer le silence. Sinon tu relances et continues. A l'infini ! Mais le silence, je n'y arrive pas, pas avec toi...
Alors, quelques petites précisions ma mal-aimée sorcière de la Toile : je suis vaniteuse, je l'ai dit et écrit. Le dire et l'écrire ne change en rien cela. Et dans ce monde de surface, y a t'il autre chose mon coeur que de la vanité ?
Mais tu as tort pour l'humilité. Elle ne se montre pas. Elle est et demeure dans ce que l'on cache. Et de celle-ci tu ne seras jamais rien, oh tendre folle !
Juan, soit le plus intelligent ; arrête ce dialogue avec esther. Mis à part essayer de vous faire le + de mal possible l'un à l'autre, vous n'allez pas arriver à grand chose.
*Celeborn
(Tu ne SAURAS, bien entendu!)
Et lâche toi, tu peux... le propriétaire du chateau s'est cassé et ne revient que demain... Moi je m'amuse bien ici.
Y'a pleins de cons toujours prêt à dinner avec moi.
désolé virginie chérie darling je n'ai pas lu ta biographie ni ton blog Mais c'est vrai que tu pues de Q d'une vanité qui a du mal à rentrer. Sans doute ce qui t'as attiré chez stalker. Vous avez la même odeurs tous les deux.
À quoi je penserai, babeth ? Mais à esther et stalker catchant dans la boue en collants moulants, bien sûr !
Ce n'est pas important ma petite Babeth - moi je te connais bien. Et prends tes gentils compliments pour ce qu'ils sont : des cris d'AMOOOOOOR !
Oui virginie tu as l'air d'aimer ça te faire frapper de partout.
Evidemment il fallait bien que je tombe sur une maso. Je les attire systématiquement ces grosses merdes.
Allez va-y finissons-en, je t'autorise à lécher le Q de mon chien. Pas plus. parceque franchement tu ne vaux rien et je m'ennuie avec toi.
Moi aussi je m'ennuie avec toi bah-bétasse, doublon d'estherique. Je n'ai jamais dit ne pas aimer les coups. Car contrairement à toi, je ne suis vraiment pas sadique, c'est certain ! Et vraiment, vraiment tu ne sais pas jouer à la Maitresse, et tes suggestions sont juste viles, aussi basses et sales que toi.
Tout cela semble finir. Tant mieux.
Mais sache que, toute douce que je sois, je serai toujours dans les parages pour ne pas te laisser la joie de croire que tes sottises ont un sens autre que ta folie. Et que jamais je ne te laisserai faire du mal impunément aux ames que tu ne cesses de manipuler et de torturer.
oui c'est ça superman, va boire ta soupe... Et n'oublies pas de donner son cachet à ton prince de lu alcoolisé.
Un bel aperçu de ce qui attend ceux qui se retrouveront en enfer.
« Qu'est-ce que l'Enfer ? La souffrance de ne plus pouvoir aimer. » (Dostoïevski)
Cher Stalker, l'internet est me semble-t-il, de tous les médias, celui où la médiocrité me pose le moins de problèmes, pour la simple raison, que ce qui ne m'interresse pas n'y prend pas la place de ce qui m'interresse car Internet, intrinsèquement, n'a pas de limites en soi. Une grille de télévision, c'est 24h pas une de plus, et l'on pourra toujours déplorer que la Starac prend la place d'un opéra de Mozart, dans un magazine, on pourra toujours déploré que la pub prend un tiers des pages, mais pour Internet, vous avez tout faux, car la Blog de Lu6 ki kif trop la life, il ne prend la place de celui de quelqu'un d'autre, il n'emmerde personne, sauf vous apparement.
L'autre chose, c'est qu'au fond, Internet, tout le monde s'en fiche, i.e., autant de lecteur pourriez-vous avoir, au fond, tout cela n'est pas sérieux. Travaillant dans les milieux scientifiques, alors même que 95% des publications sont consultés en version électroniques plutot qu'en version papier, seule ces dernières ont de l'importance. Et en ce qui concerne toute ces chroniques qui traînent ça et là sur les blog, il en est de même, elle ne valent pas plus que ce que décrivait Montalte, au plus un petit laboratoire littéraire, au pire, une jolie foire aux vanités. Car au fond, avoir cent, mille, dix-mille peut-êre lecteur par jour ne veut pas dire grand chose, le vrai question à se poser est de savoir combien d'entre eux acheteraient une version papier de vos chroniques. Internet, ce n'est pas la vraie vie, c'est bien triste pour ceux qui le croit mais c'est comme ça. Quand au prochain Proust ou Céline, il signera chez Gallimard plutôt que de commettre un Blog, et pareil, c'est bien triste pour ceux qui croient le contraire mais c'est comme ça.
Juanito, ce n'est pas bon de taper du clavier ganté de doc martens, tu perds ton orthographe prussienne et maintenant ton sang-froid. Allons, nabot, je te laisse la nuit pour te refaire. Mais demain, je le jure, le baisé de la mort!
Oups! Je n'avais pas non plus retiré mes doc M.! Mais demain, aaah, demain, j'étrenne mes savates! Amor fati.
Tututut, cher Montalte, tututut! Vous ne pouvez pas fermer les commentaires et dire "les commentaires, c'est la vie". C'est tellement beau, tout cela, parce que la misère, nous la connaissons, mais il n'y a pas que cela. Moi, je suis frappée au contraire de constater que dans cette infamie, dont je participe, s'élèvent quelques voix qui ne redoutent pas d'être sincères, qui échappent à l'universelle destruction et qui croient malgré tout aux vertus des ces communications étranges. Et, voulez-vous que je vous dise? Vous en êtes! Un authentique libéral. Oui, je sais, il ne fait pas bon de se faire traiter de libéral par les temps qui courent. Mais justement! Alors que tout est néant, vous indiquez la voie de, allez, j'ose, la voie d'une certaine bonté. Vous êtes bon, Montalte, cela, je le sens, je le sais. Je suis sérieuse. Pas d'ironie, ici. Mais "bon", c'est comme "libéral", cela fait un peu grincer. Allons, peu importe. Le méchant a toujours le dernier mot, mais le gentil a la dernière pensée, la dernière prière, le dernier pardon. C'est cucul, hein? Mais puisque le grand méchant loup n'est pas venu pour moi ce soir, je m'accorde un quart d'heure cucul. Allons, bonne nuit Montalte.
LE STALKER ET ESTHER ENFIN REUNIS !
Je copie-colle ces deux notes de nos amis qu'ils ont malencontreusement laissés dans le post suivant et qui ont plus leur place dans ce fil. Ils ne s'aimaient pas, ils m'aimeront encore moins - et qui sait ? se retrouveront peut-être. Pour l'heure, Esther se prend pour Carmen, la rose qu'elle m'avait jetée... Et Juan me dit que je ressemble à Barbapapa, on fait les fouuus....
En vacance pour une semaine, je préfère fermer tous les commentaires. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Ma chère Craonnaise, vous me comprendrez. Au fait, merci de votre heure cucul.
--------------------------------------------------------------------------------
"Il aurait dû faire comme moi. L'écouter, la comprendre, entrer dans sa folie, s'y installer, lui répondre sans l'insulter, et retourner comme un gant chacune de ses idées, foutre le bordel en elle. C'est très amusant d'éviscérer le mauvais sens des méchants par votre bon sens de gentil. Un plaisir sainement sadique. Relisez notre dialogue chez Alina et vous verrez comme je la fais tourner en bourrique et comme elle s'énerve à la fin et perd la partie. Ne jamais oublier que dans une joute c'est celui qui s'énerve qui est fait mat."
Montalc vous ne doutez de rien.. A trop vous parfumer quand même, méfiez-vous, vous allez finir par puer la suffisance... Et la suffisance c'est un pêché d'orgueuil ça, non ?
Regardez bien... Lisez-vous en moi...
Et sachez qu'on ne rentre pas dans la folie des gens comme ça, montalc. C'est elle qui rentre chez qui lui plaît et s'amuse. Jamais l'inverse. D'ailleurs, il n'y a pas d'inverse dans la folie. Ni d'envers ni d'endroit.
Et puis, le plus horrible montrou c'est que, quand elle rentre à l'intérieur au début, on ne sent rien malheureusement. On croit toujours que tout va bien... C'est à la sortie (quand on la trouve la sortie car il n'y en a plus depuis longtemps) que tout se complique...
Méfiez-vous donc plus de moi, montfake. Et cessez de vous légitimer comme ça en vous autoproclamant vainqueur sur une discussion qui n'était là que pour vous évaluer...
Ce n'est pas aux jeux d'échecs que je joue avec vous montpion... S'il est un jeu d'abrutis qui ne m'intéresse pas sur cette terre, c'est bien celui-là.
Non, matache, c'est au jeu de dames chinoises...
Et là, je suis sur votre terrain montgras. Oui. Et depuis un sacré moment. Sur votre terrain et dans votre tête. Méfiez-vous plus de moi, matache. Quand je rentre c'est définitif. Indélébile.
Ecrit par : esther morte | 24/10/2005
Tu as raison, mieux vaut parler des obsessions (obsessi, cela ne te rappelle rien Pierrot ?) de Montalte que de ses textes, qui du reste reflètent l'indigence de ces dernières... Jouir, jour, jouir, une vraie fontaine que ce Pierrot, sortez vos impers dans l'assistance, la douche promet d'être poisseuse...
Du reste, son texte de clôture des précédents commentaires est du plus haut comique, un vrai déballage de conneries pieuses : je te l'ai déjà dit Montalte, je te le répète : tire ta crampe, tu verras, alors, que tes petites vices réintégreront immédiatement leur minuscule nichette...
Comique encore que ces deux andouilles pseudo-savantes paonnant l'un devant l'autre... Vous êtes bien faits pour vous plaire on dirait : fatuité, beaufisme absolu, méchanceté sournoise (plus que réellement intelligente) et, au travers d'un mysticisme de caniveau, recherche de la perpétuelle brûlure sensuelle...
Dommage que les bordels n'existent plus Montalte, tu aurais pu y régner, quelques soirs seulement, face à des âmes en apparence seulement impressionnées par papa-gâteau faisant pouf-pouf sur une belle s'endormant, en Gilles de Rais en barbapapa...
D'autres leçons à me donner mon petit Bataille en sucre candi ?
Ah ! (copyright)
Ecrit par : Stalker | 24/10/2005