QUE LE SALUT N’EST PAS UN SALAIRE.
QUE LA MISÉRICORDE N’EST PAS UNE MÉRITOCRATIE.
QUE LA GRÂCE EST GRATUITE.
QUE TOUT SE FAIT « EN PROPRE » – ce qui faisait hurler Claudel :
« Il n’y a rien de si opposé à l’esprit chrétien que la préférence du sens propre. Cela est protestant, c'est-à-dire abominable à tout coeur catholique. »
Écrivait-il à Charles Péguy à propos de Notre jeunesse.
On ne saurait mieux définir le protestantisme, religion du propre s'il en est, c'est-à-dire du soi.