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Le monde merveilleux de Juan Asensio - Page 7

  • Ma dernière truanderie.

    (Allez, allez, une dernière fois. Je sais, c'est pas sérieux, mais c'est l'été, c'est dimanche. Et puis, j'ai un photo-montage à amortir...)

    Sacré Juan ! Décidément, l'amour vache nous réussit. Le voilà qui trépigne encore contre moi. Il n'en peut plus. Il ne sait plus à quel saint se vouer. Il s'en prend une 6726037540 ème fois à ma caprilionne (c'est vrai que celle-ci avait osé, impardonnable !, un sourire narquois en écoutant l'une de ses histoires héroïques qu'il nous avait racontées "ce soir-là"). Il ne s'en est jamais remis. Il veut avoir le dernier mot - et nous le dernier éclat de rire. Mon envie jamais tempérée de jouir contre son "refus jamais tempéré de jouir" (oui, ce n'est pas une coquille...) Et pour ce faire, le voilà qui met dans son dernier post ma tronche de cake en fleur piquée, en plus, sur le blog de Nabe. Sur que c'est pas bandant de m'avoir en poster ! Quels gamins nous sommes quand même ! Ma photo contre la sienne. On est quitte. Et la galerie d'applaudir ! Non, pas encore, il lui faut faire un de ces grandioses commentaires qui ont fait sa gloire. Vite, métaphores, brachylogies, hyperbates, hyperhypotaxes, à moi bordel ! que je fasse périr ce sous-nain véreux-siphilitique, ce trois quart de nain grenouillard infect, ce péquenot barbouilleux sous bâtard bernanosien ! Le voilà parti dans verve épitrochasmique censée me dévorer : "En voici une autre de perfidie, je ne puis m'arrêter sur une si belle lancée pas vrai, qui probablement fera de la Zone le saint des saints où se conserve quelque pieuse icône dont on jugera que la vulgarité s'accorde à merveille avec l'extraordinaire laideur de cette intelligence qui brille de quelques gras lampions de foire." De qui de quoi de quand d'où ça ? Qu'importe ! C'en est fait de moi. Je n'ai rien compris, mais je ne m'en releverai pas. C'est fini. Il peut trinquer.

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