https://www.rtl.fr/actu/international/guerre-en-ukraine-le-point-sur-la-situation-a-kiev-7900136251
« Il n’y a pas de doute que vous avez identifié une structure. »[1]
À Jean-Marc Z., mon cher dentiste de Sainte-Maxime, désormais à la retraite, et qui s’occupa, avec beaucoup de dextérité et d’humour, de mes dents de quinze à quarante-cinq ans.
Cela va être difficile d’être au niveau d’anéantir.
Roman total, comme on l’a dit, cosmogonique et psychologique, politique et théologique (le diable partout), urbain et bucolique, carte et territoire comme jamais (de Bercy au Beaujolais), chaotique et destinal, « avec ce pénible déterminisme qui caractérise en général le destin »[2] et à la fin plus bouddhiste que chrétien – car l’anéantissement, c’est autant la destruction que le nirvana, le terrorisme que la transmigration des âmes, le cancer que l’acte de chair. Comme toujours chez l’auteur de La Poursuite du bonheur, c’est ce qui nous dissout qui nous rend heureux ou du moins nous console, que cela soit le clonage, l’islam ou la sérotonine. L’auto-désintégration de l’Occident est souhaitable, le néant apaisant, la mort désirable – à condition qu’il y ait de l’amour, à condition qu’il y ait Prudence.