« Alors, tout ça, c’est vrai ? Je ne suis pas… une fiction ? »
Vanessa Springora, Le Consentement, page 177
Elle est compliquée, l’affaire Matzneff/Springora. Elle est compliquée car elle mélange tout, littérature et morale, morale et loi, délits et écrits, réalité et journaux intimes, responsabilité et subjectivité, lecture et adhésion. Mais ce faisant, elle est salubre car elle nous oblige à réviser notre perception de la littérature.