Bon, ça y est, enfin. On est dans Game of Thrones. Ca taille en pièce, ça massacre, ça ruse, il y a des femmes sexy et rusées, des événements fantastiques (au deux sens du terme) et un dieu d'une férocité exemplaire. Si bien que l'on finit par se demander si ce dieu-là vaut le coup par rapport aux dieux antiques. Pire : si Israël n'est pas ce peuple fier, dominateur et sûr de lui, comme dira plus tard un personnage d'envergure. A moins que cela ne soit un problème de lecture - d'interprétation. C'est que ce n'est pas parce qu'on lit qu'il il y a du sang qu'il y en a.