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  • L'Anté-Littéraire II

    En ce temps-là, tout se passait sur les blogs. Affinités, haines, amours. Depuis, Facebook a tout pris. Mais les blogs, quoique désertés, restent, gardent et tracent.

    Une disputation récente avec X m'a donné envie de remettre ce vieux texte d'octobre 2005 à l'honneur et que je couplerai demain avec mon ancien "Antélittéraire". On y retrouve mon immaturité légendaire, mes certitudes bon marché, mon romantisme noir Prisunic, tout ce qu'un mec de mon âge devrait avoir dépasser.

    Car enfin, "la vie, c'est quand même autre chose", "la vraie vie, ce n'est pas la littérature", "il faut grandir dans sa tête à un certain moment" - autant de phrases pour lesquelles je peux encore faire semblant deme brouiller avec quelqu'un. On dira que c'est là faire beaucoup de bruit pour rien, bien digne d'un nigaud de mon genre, qui n'a jamais publié, se contentant d'existouiller sur un mur FB qu'il confond avec le Jardin d'Epicure (encore qu'en tant que pourceau, il est assez convaincant), comme il confond d'ailleurs l'image avec la chair, mais c'est une autre histoire.  Dans tous les cas, le contraire de la vie active et adulte. 

    Car, comme dirait Paolo Coelho :

    "Il n'y a qu'une façon d'apprendre, c'est par l'action."

    Et toc, Cormary !

     

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    Et d'abord, mettre les choses au point une bonne fois pour toutes :

    « TOUTE BONNE LITTERATURE EST DANS UNE CERTAINE MESURE UNE CRITIQUE DE LA VIE. »

    (John Cowper Powys,  (Les Plaisirs de la littérature.)

     

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